Durdyn Vladimithov (Validé)

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Fiche de personnage
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Prénom et Nom : Durdyn Vladimithov

Surnom : Dyn'

Âge : 25 ans (358 ans d’existence)

Race : Vampire pure (ancien humain)

Votre Dieu : Aucun

Histoire de votre personnage : « Etait ce pendant la saison des pluies, était ce un mardi ? Nenni, je ne m’en souviens plus, la nuit était clair, les étoiles et la lune pleine tintaient la prairie d’une lueur irréel, tout comme cet instant, tout comme toi. Tu souriais à ma poésie, tu souriais de mon tourment, tu buvais mon amour. Ce feu qui me consumait et qui me consume encore.

Si les humains se disent oui le temps d’une erreur, le temps d’une courte candeur, romance de quelques décennies, eux ils finissent pourries, sous terre et au bord de l’abime et c’est seul que leurs âmes s’enfoncent dans le gouffre du chao dès que leurs enfants les ont oubliés.

Toi Isabella, je t’ai dit oui pour l’éternité, je t’ai cédé mon âme quand des crocs ont bu mon sang et j’ai partagé la tienne quand mes lèvres ont goutté le tiens. Tu as fait de moi un vampire et par amour pour toi j’aurais détruit le grand astre pour qu’a jamais nous nous unissions dans l’ombre et nous échappions à tout jamais a la fin inéluctables que les divinités ont créé en toutes choses.

Aujourd’hui tu n’es plus, tu m’as laissé seul dans l’ombre et le poids de la peine et la folie qui me guettent pèsent chaque jour plus lourdement sur mes épaules. »

Durdyn Vladimithov était un aspirant guerrier talentueux issu d’une famille de bonne réputation, il ambitionnait d’entrer dans l’ordre des paladins et il avait une profonde foi dans la divinité Honoreus. Malheureusement malgré ses engagements et le fait qu’il avait fait ses preuves, sa candidature pour les ordres fut rejetée, sa personne avait été jugée trop influençable et parfois naïve, ce qui ne convenait pas à l’élite que forme cet ordre.

Déçu et blessé dans son orgueil, il sombra dans une certaine décadence, passant une grande partie ses son temps libre à écumer les tavernes et les fêtes de son milieu… Consommant sans retenues tous les plaisirs futiles qu’un mortel peu se procurer, alcool, bonnes chaires et belles femmes. Jusqu’au jour ou sa route croisa celle d’une vampiresse, Isabella, appartenant à la caste des vampires purs. Ignorant tout d’abord sa nature, il tomba amoureux de sa beauté et sa prestance issue d’une autre époque lointaine.

Elle fut quand à elle amusée par la détresse de l’homme et par son profond désir d’auto- destruction. Il lui écrivait des poèmes, l’aimant et la désirant toujours plus, il s’en rendait malade, n’en mangeait plus. Un soir finalement elle répondit à ses avances et l’invita dans une clairière au pied d’un grand chêne. Sans doute par jeu, elle lui dit la vérité sur sa nature, lui dépeignant une existence de vampire comme une boutade au sort et au destin ainsi qu’aux divinités de bien. Alors elle lui proposa l’éternité avec elle et lui, toujours fidèle à sa naïveté qui l’avait déjà perdu auparavant, il accepta.

Une idée qui permit à la vampiresse de s’installer dans le domaine que Durdyn avait hérité de sa famille. Ils y passèrent ensemble les deux cent cinquante huit années qui suivirent, deux siècles promis à l’amour qui furent en réalité deux siècles de souffrances pour lui. Tel un jouet entre les mains de celle qui l’avait infanté il se trouva tantôt amant, tantôt valet et tantôt souffre douleur de la créature qu’il servit malgré tout aveuglément tout ce temps. Elle l’initia à la magie sombre, s’amusant ainsi de le voir échouer au départ la plus part de ses sortilèges et d’en subir les conséquences. Il exécuta tout ses caprices, devant même aller jusqu’à supporter qu’elle amène dans leurs domaines d’autres partenaires de jeu et d’autre vampires qu’elle utilisant parfois comme amants.

Si vendre son âme avait un sens et en subir les conséquences aussi, Durdyn Vladimithov serait un parfait synonyme de cette situation. Alors âgé de 258 années, le destin aurait pu le libérer de sa pénitence quand un matin un contingents de chasseurs de primes débarquèrent dans leurs domaines et y mirent le feu, désireux d’en finir avec eux et les étranges disparitions que leurs domaine engendrait. Malgré le grand âge de sa compagne et grâce à l’aide de prêtres maîtrisants les arcanes du feu, le contingent parvint à détruire Isabella, son corps matériel se consuma sous les yeux de son esclave et amant.

Bouleversé, ce dernier s’enfuit par un sous terrain du domaine connu de lui seul. Depuis ce temps là Durdyn ne passe jamais plus de trois jours dans un même endroit, ce qui explique peut-être l’âge rare qu’il à réussit à atteindre, ça et son objectif qui le maintiens en vie, trouver un moyen de ramener à la vie sa « compagne » perdue. Il se déplace en de rares occasions dans des lieux fréquentés pour s’alimenter et aussi pour se procurer le nécessaire au développement de sa magie. Il est toujours en quête de nouvelles connaissances dans qui pourraient l’approcher de son but.

Histoire de la transformation de votre personnage : Les deux êtres étaient l’un contre l’autre, au milieu d’un champ de coquelicots, la nuit avançait et la lune souriait. Isabella souriait à Durdyn, la première était assise et adossée contre l’arbre, le deuxième allongé la tête sur les genoux de la femme, l’espace de cette nuit il se crut dans un rêve. Elle se pencha prêt de lui et susurra à son oreille.

« Durdyn, mon beau mon brave Durdyn… Mon galant Durdyn, veux tu connaître mon secret ?

Surpris et attentif, l’homme se redressa sur ses coudes, tourna sa tête vers les yeux de sa bien aimée. Interloqué il répondit.

_ Quel secret ?
_ Le grand secret, celui de ma joie quotidienne, celui de la vie et de la mort en même temps. Le secret de ton amour pour moi.

L’homme sourit et se rallongeant sur le sol en soupirant.

_ Je le connais déjà

La dame rit doucement et posa une main dans les cheveux de l’homme. Se penchant sur lui elle sourit, découvrant sa dentition à la blancheur exemplaire que la lumière de la lune faisait brillée. Durdyn ouvrit les yeux un instant, les referma, puis les ouvrit de nouveau en sursautant. Il s’assit rapidement devant sa compagne adorée qui ne souriait plus, avait-il bien vu se qu’il venait de voir ? Deux canines plus longues que le reste de la dentition ? Il sentit un frisson parcourir son échine alors que les pulsassions de son cœur s’accéléraient.

_ Je croyais que tu connaissais mon secret, s’amusa l’être qui se tenait devant lui
_ Je… J’ai cru que… Qu’est ce ?...

Elle sourit de nouveau découvrant ses dents de vampire, Durdyn eu un mouvement de recule s’éloignant un peu de isabella.

_ Tes dents ! Qu’ont-elles ? Qu’es tu donc ?

Elle lui fit signe d’approcher, le cœur de Durdyn bâtait à rompre, l’instant était magique, il avait les mêmes sensations qu’un enfant qui s’apprête à faire une bêtise. Le moment précis dans la tête d’un être ou l’envie supplante la peur, le désire et la curiosité, mêlé par l’excitation de l’inconnu… Cet incroyable pulsion d’adrénaline que l’on récent en de rares moment.

_ Fais moi confiance

Lui murmura-t-elle sensuellement, pleine d’assurance. Il céda, elle ajouta à son oreille.

_ Je suis un vampire et si tu le souhaites, je peu faire en sorte que toi et moi, nous soyons ensemble pour l’éternité. Pas même la mort ne pourra mettre un terme à notre amour. Ho Durdyn mon amour, dis oui, toi et moi… Pour l’éternité, tu imagines ? Dis oui, dis oui !

Ses mots raisonnaient dans sa tête, l’éternité, l’amour pour l’éternité. Il eu un vertige, envouté charmé, il n’entendit nullement la faible voix de son âme qui le suppliait, qui l’implorait de s’enfuir loin d’elle. Elle lui sourit de nouveau, ses dents toujours présentes.

_ Tu peu toucher si tu veux

Dit-elle sur un ton provocateur qu’il ne lui connaissait pas. Il tendit une main tremblante vers l’un des crocs le touchant timidement du bout de ses doigts, l’estomac au bord des lèvres tellement tous ses sens étaient perturbés. Il toucha la pointe du croc et s’y blessa, une goutte de sang venant à perler au bout de son indexe. Les pupilles des yeux de la vampiresse s’amoindrirent comme attirées instantanément par le liquide rougeâtre. Elle lécha le doigt d’une manière effrontée et inconvenante.

_ Ca ne fait pas mal tu sais.

Durdyn était perdu, il revoyait dans sa tête ses échecs passés, la déception qu’il avait été pour sa famille, la déception qu’il avait été pour toutes ses précédentes fréquentation et si lui dire non était la perdre… Il en mourrait, c’était sans doute la promesse d’un amour eternel. Il lui sourit à son tour et il prononça.

_ Oui… Faisons-le…

L’expression du visage d’isabella se modifia, c’était celle d’un carnassier qui se jette sur sa proie. Elle se pencha sur lui, lui intimant d’une caresse de pencher sa tête, s’attendant à recevoir un tendre baisé il sentit alors une fraction de seconde les deux crocs pénétrer sa chaire. Il se sentit bondir, mais en réalité il ne bougea point, il voulait crier mais aucun son ne sorti de sa gorge. Alors que ses forces l’abandonnaient peu à peu, la douleur se transforma lentement en plaisir, d’étranges fourmillements affolèrent les extrémités de ses membres, sa vue se voila peu à peu…

Il se prit à songer à des choses folles, il avait l’impression d’être elle et qu’elle était lui, à présent il ne sentait plus son corps mais tout le reste. Une chouette prenait son envole sur la plaine, il était cette chouette, non il était le vent qui caresse l’orge dans les champs au loin… Ou bien était il la lune ? Il avait l’impression de sentir toutes les âmes endormies dans les maisons du village.

Il se cru nager dans un océan, un océan doux et chaud ou un poisson était accroché à son cou, lui provocant un léger gène et alors qu’il voulu l’enlever d’un geste de la main, le décor changea à nouveau et il perdit cette sensation de gène. Il sentit son cœur ralentir et il se cru à nouveau flotter, chaque sons lui semblaient lointain et à la foi amplifiés. Ce fut la mort.

Une dernière douleur violente et infernale s’empara de tout son corps et ce fut le néant, la froideur et la nuit éternelle. La voix d’Isabella lui apparut au loin.

_ Bois… Bois Durdyn.

Péniblement il s’exécuta, de ses yeux mi-clos et embrumés il distingua se qui lui semblait être un bras, sa bouche et deux choses qui lui était étranger à l’intérieur, se calèrent tout contre cette chose, ce bras tendu. Il avait mal aux dents et il se surprit un désire de mordre pour passer cette douleur, les deux choses inconnues de sa dentition, des crocs, s’allongèrent encore et il fit se qu’elle lui avait demandé, perçant la peau. Il but mais le goût de la chose qui coulait dans sa gorge lui déplu, il voulu dérober sa tête mais l’autre main de la créature la lui maintenait tout contre.

_ Bois ! Tu dois boire ! Continus !

Et il but encore, commençant à apprécier se qu’il faisait, le bras lui fut retiré et à nouveau il sentit une douleur dans son cou. Ses yeux se fermèrent encore mais ses délires se firent moins persistants, débarrassé d’une partie de son essence mortelle, une nouvelle conscience s’éveillait peu à peu à se qui l’entourait. Il lui semblait percevoir les battements du cœur d’un mulot tapit dans les coquelicots s’échappant apeuré devant la chouette précédemment pressentie.

Chaque bruissement des feuilles du chêne lui apparurent comme amplifiés, l’espace d’un instant il cru même voir au travers d’yeux qui n’étaient pas les siens. Le plus déroutant était se qu’il ressentait dans son propre corps, les battements de son cœur semblaient absents, ou si lent qu’il ne les percevait plus. Alors qu’il commençait à s’habituer aux changements il se retrouva à nouveau à boire le sang de celle qu’il aimait, offert par le bras de la vampiresse, il apprécia l’action un peu plus que la précédente foi. Découvrant un certain goût au liquide, percevant différent arôme dans le breuvage morbide. Puis tout recommença une nouvelle foi alors qu’elle le mordait à nouveau. La douleur se fit bien moindre et quand elle eue finie c’est lui qui prit son bras pour y mordre amoureusement, la dévisageant de ses yeux légèrement rougit.

Quand il eut fini il posa sa tête sur le sol, prit de vertiges, chacun des muscles de son être se contractés et se décontractaient dans des spasmes plus ou moins douloureux sans qu’il puisse les contrôler, comme si un poison avait perverti tout son être. Il se mit à gémir prit de panique, ne comprenant pas se qui se passait. Isabella se pencha alors sur lui et le rassura.

_ Ferme tes yeux, tu es encore faible, ferme tes yeux.

Il s’exécuta et ce fut à nouveau le néant, plongeant dans une sorte de sommeil sans rêve ni cauchemars, comme une nouvelle mort. Lorsqu’il ouvrit à nouveau les yeux, il fut surpris de se trouver dans un espace contigu, le corps oppressé, il poussa un hurlement si horrible qu’il eu du mal à croire en être lui-même l’auteur, on aura dit le crie d’un nourrisson, un monstre nourrisson qui réclame sa nourriture. Il se débâti comme un dément pour sortir de la gangue de terre et de boue humide dans laquelle il se trouvait. Il y parvint au bout d’un moment se jetant aux pieds de l’objet dans lequel ou il se trouvait, une sorte de vasque de pierre de forme allongé.

Son corps, ses yeux, tout lui apparaissait comme étranger, jusqu'à la rapidité de ses mouvements, il hurla de nouveau lorsqu’en touchant sa bouche il y découvrit deux petites crocs pointu rétractiles, à l’instar de ceux qu’il avait cru voir sur isabella. Il hurla encore, n’arrivant pas à se relever, se sentant dérouté, il avait froid, il avait faim, il avait très faim.

Elle apparut alors dans l’encadrement de la porte de la sorte de cave ou il se trouvait.

_ Arrêtes de hurler comme ça !
_ Que… Que m’a tu fais !
_ Tu es encore faible, cette terre étais là pour aider ton nouveau corps
_ Que m’as-tu fais !!!

Il voulu pleurer, mais les larmes peinèrent à venir, se trainant sur le sol comme un vers agonisant, il cru devenir fou, une longue démence accompagné d’une irraisonnable soif qui se faisait jusque dans son corps… Un corps desséché comme dans un cauchemar dont il allait s’éveiller. Isabelle en fut consternée.

_ Arrêtes de te comporter comme une larve, je vais t’apprendre à te montrer digne de ton héritage.

Elle lui tendit une main

_ Viens avec moi, il est temps que tu t’alimentes, je t’apprendrais, je t’apprendrais tout et bien plus encore, je te promets une éternité… Ho oui crois moi, je te promets une éternité.

Alors qu’il posait sa main dans la sienne, désemparé, elle rit aux éclats. Il était désormais vampire et allait apprendre tout se que cela impliquait.

Description Psychologique : Est-ce la folie, est ce le tourment de l’âme, est ce la souffrance du poids de ces années sans elle ? Quoi qu’il en soit ce dernier siècle à fait de durdyn un être sombre, encore plus que peu l’être un vampire. Il est avar de paroles et solitaire, parfois sujet quand il est seul à des crises de démences dans lesquelles il s’adresse à des gens qui ne sont apparemment pas présents.

Lui-même décrirait son esprit comme habité d’une symphonie, une musique magnifique et triste qu’il entend en permanence dans sa tête depuis la disparition de celle qu’il appel encore sa bien aimée. Il la fredonne parfois, particulièrement quand il s’apprête à tuer quelqu’un pour s’alimenter ou pour se divertir un peu.

Une foi ses démences passagères passées, il retrouve une froideur et un calme effrayant. Il n’a aucune estime pour quiconque ou quoi que se soit mais il sait malgré tout cacher ses intentions et manipuler les faibles esprits à l’instar de tous ses frères et sœurs de races. Si la situation l’exigence il sait aussi se faire passer pour quelqu’un d’autre, jouant ainsi un rôle pour arriver à ses fins. Il exècre la compagnie des autres vampires et préfèrent au possible les éviter car ils lui rappellent trop l’absence de son aimée.

Il ne croit en aucune divinité depuis sa rencontre avec isabella, elle lui répétait sans cesse que les vampires pouvaient être eux même considérés comme des dieux puisqu’ils échappaient plus longtemps que tous les autres à l’étreinte de la mort et avaient le pouvoir de décider de vie ou de mort sur les mortels. Une haute estime de soit même qui causa cependant la perte de sa compagne et initiatrice. Sa transformation et les souffrances morales qu’il à connu ont mit un terme à sa naïveté d’en temps.

Description Physique : Durdyn peu impressionner par sa taille, haut d’une toise (~ 1 mètre 94) pour à peine soixante treize kilogrammes, sa stature est fine, se qui relève une impression d’appartenance à une certaine noblesse, une classe qui n’est pas coutumière au travail physique intense.

Pour un guerrier ou une brute, il pourrait même juger Durdyn comme un être faible que l’on pourrait briser en deux facilement d’un coup de poing. Aux des femmes de goût sa silhouette et la façon dont il se déplace lui donne une élégance naturelle, amplifiée par son aura de vampire arrivé à maturité. Il porte généralement des accoutrements dignes des grands mages, il affectionne particulièrement leurs capuchons qu’il rabat sur la moitié de son visage le cachant ainsi des regards inquisiteurs.

Son teint est pâle voir livide et ses cheveux ébènes contrastent avec sa peau. Depuis sa transformation ses yeux bleus se sont encore plus éclaircis au fil des années à cause de son étude intense des ouvrages de la magie à la bougie. Dénués d’expressions, cette absence de l’éclat de vie qu’ont ses pupilles peuvent être confondues avec de la tristesse.

Il porte avec lui un bâton long qu’il range dans son dos et une dague incurvée à son ceinturon.

Classe de votre personnage : Maître blême (mage aspirant à devenir nécromant)

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Grimoire
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1. Sorts de niveaux faibles

• Aura cadavérique : Sort de protection mineur et passif, il permet au lanceur de se napper d’une aura qui le protège de quelques sortilèges mineurs comme une petite boule d’énergie ou un simple éclair
  
• Intuition des morts : Elle permet au lanceur de repérer la présence de magie dans les objets par exemples ou encore les passages protégés ou dissimulés par des pièges magiques
  
• Energie macabre : Le lanceur de sort invoque de petites sphères d’énergies négatives, lancées sur un adversaire elles causent de menue dégâts en faisant vieillir prématurément se qu’elles touchent, provocant des brulures similaires à celles d’une petite boule de feu.
  
• Guérison induite : Pour pouvoir composer ce sort le lanceur doit disposer d’une fiole de sang, son accomplissement permet de guérir certaines blessures, la quantité de sang utilisée est aux regards des blessures.

2. Sorts de niveaux Moyens

• Sueur froide : Lorsque le mage invoque et réussit ce sortilège son adversaire est prit d’un subite vertige, le dépossédant pour un très court instant de ses facultés visuelles et d’équilibre. L’effet du sort est fonction de la constitution physique et de la résistance mentale de l’adversaire.
  
• Dance macabre : Lorsque le lanceur de sort parvient à incanté ce sort, il peu inciter une de ses armes à se mouvoir autour de lui pour un petit temps, lui assurant une certaine protection contre les armes et jet et les flèches des arcs, lui donnant ainsi un peu de temps pour lancer d’autres sorts.
  
• Sommeil profond : ce sort est compliqué à mettre en place, il nécessite de toucher au front de sa cible tout en l’incantant rapidement de l’autre. S’il réussit la personne sombre alors dans un profond sommeil imperturbable de quelques heures.

3. Sorts de niveaux Elevé

• Etreinte morbide : Ce sort nécessite une gestuel et une incantation complexe, si il réussit un brouillard fantomatique se lève autour d’un seul adversaire ou bien d’un quelconque objet et prends la forme d’une main squelettique, le mage peu alors la contrôler mais cette dernière occupe tout son esprit, il ne peu lancer aucun autre sort pendant son utilisation et la moindre perturbation ou coup reçu mets un terme au sort.
  
• Peau osseuse : Une foi invoquée ce sort passif recouvre pour un certain temps la peau du lanceur d’une couche épaisse d’os, à l’exception de sa tête qui reste une zone vulnérable aux attaques de ses ennemis
  
• Expiation cadavérique : Ce sort est en quelques sortes l’évolution « d’énergie macabre ». Il permet de créer une sphère d’énergie négative de grande taille et de la propulser en créant ainsi des dégâts plus importants voir même la mort de l’adversaire si celui ne dispose d’aucune protection. A l’inverse d’énergie macabre, ce sort nécessite un temps d’incantation long, le lanceur peu donc être facilement interrompu si il ne prend pas ses précautions.

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Test de Rôle Play :

Comme « test » de RP j’ai décidé de décrire un combat imaginaire entre mon hypothétique futur personnage et un adversaire du type « classe de contact » humain. Ce n’est pas forcément une situation qui permet de présenter toute la subtilité d’un vampire, dans mon cas ça me permet de vous montrer comment je compte utiliser ses sorts.

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[…]
Elle ferma les yeux, la vie quittant son corps peu à peu, quelques tressauts de souffrances accompagnèrent les dernières gouttes de sang qui vinrent couler dans la bouche du vampire. Il se délecta du reste du liquide bienfaiteur, comme beaucoup de femmes son sang avait un goût au parfum sucré et délicat. Il leva ses yeux rougeoyants sur la rue délabrée dans laquelle il se trouvait, la nuit lui souriait quand soudain un hurlement plein de haine retentit derrière lui.

« VAMPIRE ! Ton heure à sonnée ! »

Faisant volte face, il poussa un léger soupire. La nécessité de ses besoins lui avait fait oublié l’espace d’une heure sa règle fondamentale qui lui avait permit de vivre tous ces siècles durant : ne jamais « s’alimenter » dans une ruelle sombre à l’image d’un petit vampire de pacotille. La soirée s’annonçait longue.

Sa vision accrue dans l’ombre lui permit d’un bref regard de juger la carrure de son adversaire. Situé à cinq mètres plus en avant de lui, l’homme devait mesurer dans les 183 cm et peser au moins plus de 90 kg. Il portait une arme ressemblant fort à un marteau de guerre. Durdyn sourit, la chance était peu être de son coté. Il ramassa prestement son bâton au même instant que son adversaire prenait son élan en faisant tournoyer son arme d’un geste ample.

Prenant appuis sur son bâton d’une main Durdyn attrapa l’extrémité de sa cape qu’il tendit pour le camoufler tout en se repliant sur lui-même, au moment précis de l’impacte, il détendit tout son corps vers l’avant, tournant légèrement autour de son bâton et lançant sa cape a moitiés sur son adversaire. Le marteau de guerre vint frapper la cape et l’air vide derrière déséquilibrant le guerrier qui chuta, surpris par la rapidité de l’esquive du vampire, donnant une seconde de répit à Durdyn.

Le mage vampire détacha sa cape d’un geste ample et gesticula trois signes avec sa main libre, invoquant une petite sphère d’énergie négative qu’il projeta au visage de son adversaire. Cette dernière vint s’y écraser, lui blanchissant les poiles de sa barbe et lui piquant le nez. Durdyn gliça son bâton dans son dos et s’éloigna à grandes foulés de son adverse encore surpris, mettant trois mètres entre eux deux tout en invoquant de ses deux mains libres.

_ Fumier ! Tu ne vas pas t’en tirez à si bon compte, REVIENS Là lâche !

L’homme se leva rapidement le chargeant de nouveau tête baissé. A cet instant précis Durdyn s’immobilisa et fit volte face, achevant sa nouvelle incantation par un mot de pouvoir dans un ancien dialecte pour activer son sort de sueurs froides.

_ Nerdin Glarf !

L’homme fut prit instantanément d’un vertige, sentant ses jambes flageoler il lança son marteau devant lui tout en s’effondrant sur le sol. Son arme lui échappant sous l’élan qu’il lui avait donné se projeta droit vers le vampire qui ne put l’esquiver.

Le marteau vint cogner l’épaule de Durdyn dans un bruit sourd le poussant en arrière, il atterrit lui aussi sur le sol, sa tête cognant le parvis pierreux violement. Un peu sonné dyn’ plongea une de ses main dans une poche de son vêtement, en sortant un petit morceau de « gaélite », une pierre qui lorsqu’on l’écrase dans sa main permet de rendre plus précis la gestuelle d’un sort. Il allait en avoir crucialement besoin car son bras gauche se faisait déjà douloureux suite au coup reçu et son prochain sort nécessitait une précision impeccable.

Se redressant en position assise, il pu constater que l’homme commençait à peine à se remettre de son précédent sort. Il fallait agir rapidement car seulement deux mètres les séparés. Il incanta prestement, la gaélite lui permettant de contrôler son bras convenablement malgré sa douleur à l’épaule. Il fit d’abord un signe en croix inversée de sa main gauche puis il décrivit plusieurs cercles de la droite. L’homme prenait appuie sur ses bras pour se levé, il continua son incantation en dessinant trois nouveaux cercles des deux mains et pour finir il leva l’indexe de sa ma droite au dessus de la paume de sa gauche. Dessinant moults tourbillons, une grande boule obscure fit son apparition au moment même ou le guerrier se mit debout.

Terminant son incantation par un autre mot de pouvoir et au prix d’un effort important, Durdyn lâcha son sort d’expiation cadavérique.

La sphère avança rapidement droit sur le guerrier, tournoyant sur elle-même en émettant une lueur violette d’antimatière qui zébra la rue. Elle percuta son adversaire de plein fouet qui hurla de douleur et fut projeté plusieurs mètres en arrière, une partie de ses vêtements partirent en lambeau et sans doute même un peu de chaire. Il allât s’écrouler bruyamment avec un fracas sonore terrible dans une pile de caisse qui se trouvait plus loi, a quelques mètres de l’arrière d’une auberge, il semblait incontestablement mort.

S’appuyant sur son bâton Durdyn se releva péniblement. Plusieurs hommes sortirent de la taverne, ameutée par les fracas. Deux d’entres eux interpelèrent le mage vampire d’un ton abrutis, affolés par les deux cadavres dans la ruelle.

« Hey ! Qu’est ce qui se passe ??

L’ombre de la nuit masquant les détails du combat, comme les marques au cou de la femme et le sang qui dégoulinait du cadavre de l’homme, Dyn' sourit et expliqua calmement d’une voix légère qu’il fit volontairement âgée.

_ Ce porc était en train de violer cette pauvre femme, j’ai tenté de prendre sa défense bien que je ne suis point très fort… Il devait être ivre car il a prit peur de moi et en fuyant il c’est effondré dans ces caisses là bas. »

Les hommes échangèrent de regard interloqués, n’osant pas approcher les corps, ils s’exclamèrent à nouveau.

_ Il faut prévenir la milice grand père !

Durdyn sourit * exactement, vous avez tout comprit petites larves insignifiantes *

_ Oui j’y cours de ce pas, j’y cours de ce pas

Le vampire s’éloigna dans la nuit, en faisant semblant de boiter et s’appuyer de son baton, courbé sur lui-même comme un vieillard, sa capuche ample faisant le reste. Tournant prestement aux détours d’une ruelle, il se redressa et lâcha dans l’air un léger rire tant la bêtise des humains pouvait parfois l’amuser. Il regretta juste de ne pas avoir pu prélever un peu de sang de sa deuxième victime, cela lui aurait permit de soigner son épaule plus rapidement.

Je te souhaite à nouveau la bienvenue sur Odimir Durdyn! Avant de te valider, je devrais néanmoins de faire une légère modification à ta fiche et aussi je devrais te poser l’ultime question!

Premièrement, j’aimerais que tu décrives dans ton histoire la transformation en vampire de ton personnage, la manière dont cela se passe et aussi les sentiments ressentis! Ensuite, juste pour m’en assurer, où désires-tu que ton personnage débute? Shiliak ou Terrebelum?

Finalement ta fiche est très bien constituée et si tu n’avais pas mentionné ton léger handicap je ne l’aurai jamais remarqué! Lorsque la description de ta transformation en vampire seras ajoutée, envoie moi un mp et je te validerais! Bon Jeu sur Odimir! (ho et dans le mp précise si tu désires Shiliak ou Terrebelum!)

Edit: Chose importante aussi! Tu as oublié de mettre le code (qui se trouve dans les réglements!) Je ne pourrais validé ta fiche que lorsque ce dernier seras ajouté! (C'est pas très dure à trouver surtout si tu as lus les réglèments!) ^^' (Un peu plus et je l'oubliais moi-même lol)

Tu es validé et comme nous avons réglé les menus détails en mp tu peux dès à présent commencer le rp!

Note: (Pour ce qui est du champ de Coquelico précise qu'il est artificiel et à Terrebelum car autrement l'univers d'Odimir ne permet pas ce genre d'environement encore, je dis bien encore! XD)