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 Lucian Hervan Godrichenberg (Validée)

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Lucian
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Lucian


Messages : 7
Date d'inscription : 27/06/2010
Age : 35

Biographie du Personnage
Race :: Lycan Komodo
Classe :: Chevalier déchu
Réputation :: -10

Lucian Hervan Godrichenberg (Validée) Empty
MessageSujet: Lucian Hervan Godrichenberg (Validée)   Lucian Hervan Godrichenberg (Validée) EmptyMer 30 Juin - 23:06

[justify]Prénom et Nom: Lucian Hervan Godrichenberg

Surnom: Disparue depuis près d’un demi-siècle, il ne laissa derrière lui aucun nom. Il est donc inconnu de tous.

Âge: 435 ans

Race: Komodo-Garous

Votre Dieu: Anciennement Honoreus, mais aujourd’hui sans croyance. Sa foie ses perdu lors de sa transformation et depuis la mort de son père, il commençait à ne plus y croire. Désormais n’étant que l’ombre de sa folie, Lucian a renié toute divinité.

Description Psychologique: Autrefois très poser et délicat, il aimait sa femme et sa fille. Il aurait donné sa vie pour son dieu et ses terres, mais à la mort de son père son amour pour sa patrie et de son dieu ce son perdu. Maintenant engloutie dans sa démence, l’honneur n’est devenu que pure fabulation. L’amour, une pure illusion d’imbécile. La gloire, un moment qui sera écrie et oublier.
Aujourd’hui, Lucian est un homme qui aime les défis, le meurtre, mais surtout ce jouer de ses victimes. Arrogant mais intelligent, son expérience de l’art de la guerre, l’aida à s’enfuir durant quatre-cent ans de ses ennemies. Il aime beaucoup la noirceur et le froid, les nuits glaciales du désert le fait apprécier ce tableau pauvre en imagination. Il aime errer par-ci par-là, piller, brûler et tuer ses victimes en son propre nom. Son changement psychologique est du à l’animal en lui, qui le rongea d’année en année, jusqu’à ce que son âme s’effondre sous son influence. Pure malice, voyant la pitié comme une faiblesse, son cœur de pierre ne laisse rien le percer. Il est désordonner mentalement et rien ne l’ébranle.

Description Physique : Mesurant cinq-pied onze, des bras d’acier, un corps sculpter dans la roche. Il a été très entrainé physiquement durant sa jeunesse et ses nombreux combats l’on maintenu en bonne forme. Une balafre découpant l’arcade sourcilière gauche, décore son visage. Ces yeux gris pâle, paraissent vide de toute vie. Ces cheveux long jusqu’au torse et une petite barbe étendu seulement au menton, sont colorer d’un brun foncé. Toujours armuré, il a également un casque qu’il porte très rarement, et toujours attacher à la sangle de son cheval.

Classe de votre personnage : Chevalier déchu : Anciennement un saint, cette être corrompu est d’une cruauté hors du commun. Arrogant et égoïste, il n’hésite pas à utiliser des innocents dans ses plans de conquête. Le chevalier déchu est de coutume un noble de naissance.

Arme de prédilection : Le chevalier déchu privilégie habituellement la lance, l’épée et le bouclier. Malgré son habiliter à cheval, sa capacité spécial ce réduit à être à pied, donc ne peu être utiliser sur sa monture.

Capacité spécial : Le joueur devra inventer une capacité spéciale propre à son personnage qu’il ne pourra utiliser que lorsqu’il est à pied.

Spécialisation : Épée et bouclier (Le chevalier déchu devient habile dans la maitrise d’utiliser son bouclier comme d’une arme tout aussi bien que son épée.) ou Ambix-dextérité (Le chevalier déchu ce spécialise dans le maniement de deux armes à la fois, épée et épée, lance et épée ou lance et lance. Le bouclier lui ne peu être pris en considération dans cette spécialisation).

Restriction : Doit être humain, demi-elfe, garous, vampire-sauvage. (Les garous et vampire sauvage peuvent être des chevaliers déchus, malgré le fait qu’ils ne peuvent être des chevaliers. À la condition de spécifier dans l’histoire de votre personne qu’il était autrefois un humain).

:: Classe de Contacts ::
Arme de Prédilection: Lance et épée longue

Compétence Spéciale: Plaisir de tuer (L’euphorie que lui procure le meurtre augmente involontairement cette envie malsaine qu’est celui de répandre le sang. Pendant un bref moment, le joueur voie son personnage ce délecter avec avidité de la chaire mis à nue de chacune de ses victimes, attaquant avec plus de rapidité et de force).

Spécialisation: Ambix-dextérité (Le chevalier déchu ce spécialise dans le maniement de deux armes à la fois, épée et épée, lance et épée ou lance et lance. Le bouclier lui ne peu être pris en considération dans cette spécialisation).


Histoire de votre personnage:

IMPORTANT - Certain propos tenu dans ce texte pourrai choquer certaine personne

Le soleil ce leva las, révélant de ces charmantes éclat le petit jardin. Peu de fleur y était planter, mais cela importait que peu à Ysëlle. Fille de Lucian Hervan Godrichenberg et de sa femme Gillia, elle était fille unique et c’est pourquoi ses parents la choyaient énormément. Elle était déjà lever, tôt le matin pour admirer les plantes qui poussait lentement dans l’ouche. Gillia la rejoignit et l’embrassa sur le front. Elle le lui rendit et partie à la cuisine, l’où elle y trouva les bonnes préparer le petit déjeuner. Elles mangèrent leur plat avec appétit et partirent ce promené à l’extérieur. Le soleil était fort et l’air était humide, mais cela ne les empêchas guère de continuer leur marche. Elles allèrent vers la grande place, mais les gardes interrompirent leur promenade.

-Qui à t’il messieurs?

-Nous avons reçus l’ordre de vous emmenez sur le champ… Dit l’un d’eux d’un ton désobligeant.

L’un des gardes empoigna le bras d’Ysëlle avec force et la tira vers lui. Gillia, outrée, gifla et jura le garde, mais elle fut vite assommer par un autre. Ysëlle ce mis à pleurer, les soldats la ligota et l’emmena elle et sa mère à la grande place de Terrebelum. Une foule immense ce mirent à entourer le centre destinée au châtiment mortelle. La petite fille n’en savait rien mais le fait qu’on lui cracha au visage ne lui inspira guère confiance, elle pleura de plus en plus. Sa mère commença à reprendre conscience, alors qu’on la déposa au sol près de deux poteaux, l’on attacha la femme et sa fille sur ceux-ci. Du bois fut alors placer sous leur pied, un bois sec et en grande quantité couvris le sol. Un homme de noblesse arriva à cheval, regarda les demoiselles avec dédain, et ce retourna devant la foule en déroulant un parchemin.

-C’est aujourd’hui, au nom du roi et du peuple de Terrebelum, et pour sa sécurité… Qu’en ce jour nous déclarons coupable ses deux femmes : Gillia Firradel-Godrichenberg et sa fille Ysëlle Godrichenberg, à brûler par le feu… Il prit une pause et la foule ce mis à applaudirent avec enthousiasme. Ysëlle appelai sa mère tout en pleurant de plus belle, mais celle si était encore sous l’effet du coup. Le noble leva la main et continua : Les crimes perpétué par leur indigne personne furent les suivantes : Liaison avec un Garou, pour l’avoir caché durant plusieurs années, et pour sorcellerie… La foule huait maintenant les deux condamnés. Si quelqu’un si oppose qu’il parle et subisse le même sort… (Nul ne répondu)… Bien, brûler-les…

Le bourreau s’approcha et alluma le bois avec sa torche. La foule devint alors hystérique, lançant de la nourriture à leur visage, et leur aboyant le mot « sorcière » tout en les pointant d’un doigt jugeur. Gillia ce mis à ce tordre de douleur alors que ses pieds commençai à prendre feu, Ysëlle supplia le punisseur de l’épargner elle et sa mère. Cela ne l’arrêta guère, il alluma le bois et recula, fit face à la foule et leva les bras, tous applaudirent le « brave » homme.
Le feu engouffra les jambes des jeunes femmes qui criaient à l’agonie, leur chaire maintenant visible noircissait lentement. Leur cri devinrent strident, leur douleur de plus en plus péniblement insoutenable. La chaire finie par ce déchiré laissant le sang s’écouler sur les restants de leur jambe, caillant rapidement sur leurs brûlures. Ensuite ce furent les anches qui furent brûlé, ensuite les mains, la poitrine et finalement le visage… Une torture qui dura près d’une heure, une douleur accrue qui fini par leur prendre la vie. Nul crie ne sortie de leur mâchoires en lambeau, et l’assembler qui admiraient la scène sautèrent de joie.

-Bien fait pour ses abominations! Lança le noble au peuple qui acclamait le seigneur. Bientôt, viendra le tour de ce garou, le même sort lui sera réservé, avec quelque petit supplément.

Enjouer, ils glorifièrent le souverain par des cries de joie. Celui-ci repartit en ne lançant le moindre regard vers le peuple.

۞

Deux ans plus-tôt

Lucian partit avec ses hommes sous une pluie abondante (Ce qui était très rare même à la saison des pluies). Ils devaient rejoindre des troupes alliés qui avait retrouvé des nobles pris en captivité depuis près de trois mois. Ils étaient possiblement poursuivis par leurs ennemis, et s’est pourquoi, l’on envoya le capitaine et ses hommes. Le chemin de terre était boueuse et ralentirent leur route. Les soldats qui ce devait de marcher était sale et épuiser après plus de treize heures de marche, alors Lucian donna l’ordre de monter un camp. La nuit tomba finalement et l’orage lui s’éleva, les chevaux étaient apeurer et les écuyers dormirent très peu. Le jour ce leva, les nuages encore épais restait néanmoins très calme, il ne plut de la journée et le soleil ce montra lors de son coucher. Encore dix jours de marche les attendaient, pour atteindre Elvenion, où étaient les rescapés.
Le troisième jour fut ensoleiller et il n’y eu ne serai-ce le moindre problème, les hommes étaient tous prêt à combattre et beaucoup semblais l’espérer. Mais Lucian lui préférait, et de beaucoup, éviter la violence. S’il pouvait seulement les cueillir et repartir ensuite, non seulement il ne risquera pas sa vie mais également celle de ses hommes.

Ses aux septièmes jours qu’ils les croisèrent, ils étaient dans un état pitoyable mais sauf. Le général Himir vint à la rencontre de Lucian qui s’inclina respectueusement devant son supérieur.

-Nous ne pouvons tardés capitaine, ils nous suivent et en grand nombre! S’exclama t-il

-Combien? Demanda Lucian

-À peu prêt huit-cents…

À cette réponse il ce retourna vers ses soldats et donna l’ordre de reprendre la route vers Terrebelum. Avec tristesse ils ce retournèrent tous et partirent sans enthousiasme. Le général et ses troupes les suivirent et Lucian envoya une trentaine d’hommes couvrir leur arrière. Leur marche de retour ce fit à la hâte, la pluie retombait de nouveau, mais aucune éclair n’avait pourfendu le ciel ombrageux.
Les nuits furent agiter et les soldats très angoissés. L’aube du dixième jour depuis leur départ de Terrebelum, fut beaucoup plus agiter, un éclaireur qu’ils avaient envoyé était revenu avec une mauvaise nouvelle. Ces bêtes qui les suivaient les rattrapaient, le général donna l’ordre de ne pas s’arrêter pour la nuit. Leur morale était au plus bas, de jour en jour, il semblait que le pire ce devait d’arriver. Le capitaine essaya mais en vain de réconforter ses hommes, mais tous savait que bientôt ils devaient livrer bataille, cela ne les dérangeaient guère, le problème était le temps et le terrain. Ce qui inquiéta également Lucian. Le général lui ne voulait qu’avancer, éviter le mieux qu’il pouvait un affrontement. Il envoya même un messager à Terrebelum pour du renfort.

Douzièmes jours, l’éclaireur vint nous dire que la plupart avait rebroussé chemin et que seulement une trentaine les suivait. Le général semblait satisfait et lui demanda si ces créatures étaient loin. Il répondit que non, à environ deux heures derrière eux. Lucian était soulager, il pourrait enfin rentrer chez lui et revoir sa femme et sa fille qui l’attendait avec impatience.
Son supérieur par contre voulait que ces bêtes qui les suivaient soient exterminées.

-Nous ne pouvons nous permettre de les attaqués messire, nous sommes près de la destination, et aucun hommes n’aura péris! Lança le capitaine à son général.

-Nous ne pouvons nous permettre de laisser ses monstres atteindre le royaume! Cria Himir. Si nous les éliminons maintenant nous n’aurons pas à les combattre chez nous!

-Ils ne nous suivrons jamais jusqu’à Terrebelum par peur de…

-SILENCE!

Lucian ce tut et fixa avec colère son supérieur.

-Nous allons nous battre, est-ce bien claire?

-Oui…

Il ce retourna et ordonna à ces hommes de ce préparer au combat, Lucian lui lança à ses hommes que le voyage sera prolonger du à une petite escarmouche. Le capitaine rejoignis le général Himir et parla des stratégies à employer, celle convenus était fort simple, cent-cinquante hommes seront envoyer au front, les poussant à la retraite, et les cinquante autres la couperons. Une fois ces abominations pris en colimaçons, ils ne pourront allés bien loin.
À contre cœur Lucian ordonna à ses soldats de le suivre. Tous ce mirent en marche derrière leur commandant, qui avait laissé sa bannière derrière lui pour éviter qu’elle sois vue par l’ennemie, et sabotent leur attaque.

Midi sonna sous les coups d’épée transperçant la chaire des Garous. La bataille fut vite terminer et seulement quatre soldats tombèrent. Pour une raison qui échappa Lucian, les garous n’avaient même pas essayé de s’enfuirent. Toujours derrière les dunes, le capitaine et ses hommes étaient loin du combat, Lucian et ses hommes rejoignirent Himir une fois le conflit terminé.

-Alors! De quoi aviez-vous peur capitaine? Himir ce mis à rire.

Lucian n’en avait que faire, il ne voulait que rentrer chez lui pour, une fois de plus, prendre sa femme et sa fille dans ses bras. Il n’était pas avide de victoire comme Himir. Un grognement rauque interrompit le général de ses moqueries. Il ce retourna vers les dunes derrière lui, la peur envahit ses traits, le reste des garous qui avait « déguerpis », ce tenait en haut des collines de sable. Ils n’attendirent pas pour attaquer, ils dévalèrent les collines de sable. Plus de sept-cent étaient-ils, le sol tremblait sous leur pas, le général repris ses esprit et positionna ses hommes, Lucian en fit de même. Ils levèrent leur bouclier et brandissait leur lance. Une fois à porter, ses animaux seront embrocher, les archers ce mirent à tirer. Certaine de ces bêtes tombèrent morte, faisant trébucher avec leur corps sans vie, ceux qui les précédait.
L’impacte des garous sur les boucliers résonna dans la plaine de sable. Leur sang s’étendant sur le sol, les lances traversant leur corps d’animaux. La première ligne dégaina leur épée et les balanças contre l’ennemis. Transperçant la chaire, le sang gicla de part et d’autre dans ce chantier de cadavre. Leur griffe l’acérait les armures et les réduisait en lambeaux. Lucian Pris les garous sur leur flanc droit, pris par surprise, les bêtes ne purent que tomber sous les coups d’épées. Lucian esquiva une de ces créatures qui tenta de lui bondir à la gorge, il ce retourna et avant même que la bête est eu le temps de ce retourner, Lucian lui enfonça son arme dans la moelle-épinière. Il ce releva à temps pour esquiver un second qui tenta de le griffer, la patte du garou vola de son bras et ce fut ensuite ses entrailles qui s’étendirent sur le sol. Himir sonna la retraite, ils ne pouvaient faire face à autant d’homme-animal. Le capitaine en fit de même et ses hommes tentairent en vains de ce faire un chemin parmi les corps sanguinolent qui recouvrai le sable. Le général sonna de nouveau son cor mais cette fois le son fut couper sec. Lucian ce retourna et le chercha du regard, il ne le trouva pas mais ce n’était guère le temps de rester la.

La bataille ce termina par la défaite du général Himir Longgsir et de ses hommes. Lucian fut capturé ainsi que les autres survivants. Ils furent emmener tout près de Morgathis, dans une de leur tanière l’où ils tentaient de transformer leur butin en un des leurs. Parmi les capturés, il y avait les politicien qu’ils venaient tout juste de sauver… Ce qui laissa un bref sourire sur le visage de Lucian qui trouva cela ironique. Il y avait également deux sergents, Tyron Humar-Surris et Unas Haltumus, quelque soldat dont deux qui ne devait avoir que seize ou dix-sept ans. Cela attrista le capitaine, si jeune et bientôt ils deviendront ce qu’il devait combattre.

-Que vont-ils nous faire? Demanda l’un des deux jeunots à Tyron.

-Ils essaieront de nous transformer, sans plus… Répondit le sergent.

-Sans plus? Parut s’indigner Unas. Si par malheur vous ne pouvez vous transformer, ce qui est déjà un malheur en soit, ils vous enverront au vampire…

-Les vampires! Ils… Ils vont tentez de nous transformer eux aussi? Demanda le second gamin.

-Non… Nous serons leur repas. Répondit Tyron.

Les deux adolescents ce mirent à verser des larmes silencieusement, Lucian qui avait tout écouté ne démontra pas ses émotions. Que pouvait-il faire de toute façon…

Les jours passa, ils arrivèrent finalement à Morgathis, les trois politicien qui, dans leur tentative de fuir, furent pris au dépourvu par des sables mouvant. Ce qui attrista les garous car les politiciens auraient pus garnir leurs bourses. Les villages de la région était désert, ou semblais l’être, car des silhouette ce dessinaient au travers les fenêtres et arbustes. La pluie tomba de nouveau, ce qui étonna Lucian puisque la pluie était rare en ses terres aride. Malgré que tout le long du voyage il n’y avait eu aucune goute d’eau. Les soldats en captivités étaient affamer, ils ont tous été que très peu nourris, sauf les hauts gradés tel que Lucian. Car s’ils ne pouvaient ce transformer, ils pouvaient néanmoins être vendu plus chère au vampire. Alors que s’ils étaient en mauvaise santé ou mourant, ils ne pourraient être monnayés à plein tarif.
Ils finirent par s’arrêter devant un grand portail, l’un des garous, qui avait repris sa forme humaine, aboya d’ouvrir les portes au garde. Celui-ci acquiesça et les gongs retentirent alors que les immenses portails s’ouvrirent dans un grincement rauque. Tous entrèrent abandonnant les prisonniers à d’autres gardes. L’un deux empoigna le bras d’Unas qui s’en extirpa et lui cracha au visage. Alors que la bête (sous sa forme humaine) allait lui assener un coup, un autre intervint et frappa le garou.

-Est-tu seulement au courant combien vaux un sergent pauvre imbécile! Lança celui-ci en le menaçant du doigt.

-Pardonnez mon erreur messire…

Le garou repris sa place dans le rang et regarda avec mécontentement Unas, qui lui souriait avec arrogance. Lucian avait compris que ce sergent aimait les combats, qu’il n’avait pas froid aux yeux et qu’il était très arrogant. Il semblait s’en utiliser comme d’un outil pour lui donner un avantage dans une situation comme celle-ci.
Les humains atteignirent leur cellule respectif, leur sort serai donc décider plus tard. L’on emprisonna Unas, Lucian et Tyron dans la même geôle, elle était très étroite mais il y avait assez de place pour les trois commandants. Unas maugréât quelque jurons et Tyron ne cessai de fixer Lucian. Celui-ci ne le prenait en considération, trop occuper à penser à sa famille qui l’attendait. Il savait que désormais les chances de s’en sortir étaient près de l’impossible.

-Quel est votre nom? Demanda Tyron à Lucian, qui ne lui répondit pas, il ne l’avait même pas entendu.
Votre nom capitaine, j’aimerai en être informé, si je suis pour mourir je veux savoir avec qui!

Toujours aucune réponse de Lucian, mais il releva la tête et le regarda dans les yeux. Tyron ce retourna vers l’autre sergent d’un air interrogateur, celui-ci répondit qu’il n’en avait que faire de son nom et du reste, valait mieux trouver un moyen de sortir plutôt que de faire les présentations. Le capitaine acquiesça intérieurement cette remarque. Tyron, lui semblait plutôt offenser et ce mis à le sermonner, alors les deux hommes ce mirent à ce disputer jusqu’à ce qu’un garde vint les faire taire. Ensuite, le silence…
Trois, quatre, cinq jours passèrent sans la moindre tentative de leur part de les transformés, mais le lendemain ils emmenèrent les jeunots et quatre autres soldats avec eux. Ensuite le jour suivant ils prirent ceux qui restaient mis à part les trois hommes, qui attendaient leur tour silencieusement.

Le soleil ce leva, et l’on emporta Lucian, qui ne débattis guère, vers une arène. Les cadavres des hommes précédemment emmener s’étendait au sol, leur sang cailler, et la chaire rester trop longtemps au soleil, avaient laissé une odeur de putréfaction qui obligeait le capitaine à recouvrir son nez avec le dos de sa main. Les corps avaient étés déchiqueter, des loups n’aurai pu en faire autant, en quel animal essayaient-ils de les transformés? Sa réponse arriva de la cellule dans laquelle elle était enfermée, de ses trois mètres de long, son pas décider et sa mâchoire refermer lançait de temps à autre une langue de varan. Ces épaisses écailles couleur nuit, et sa langue jaunâtre laissait échapper un faible bruit de frottement à chaque fois qu’elle s’extirpait de sa gueule. La créature avançait plutôt vite pour sa taille, elle balançait sa tête de gauche à droite, comme si elle cherchait quelque chose. Le reptile géant fini par lancer un rugissement, s’élança alors vers Lucian à une vitesse fulgurante. Sa mâchoire claqua dans le vide alors que Lucian avait esquivé la bête. L’on lui lança une lance à deux pas de lui, il l’empoigna et fit face au gigantesque varan. La bête avait déjà fait demi-tour et lui fonça dessus, elle bondit sur lui avec une agilité hors norme, comment une bête aussi grosse pouvait ne serais-ce courir? Lucian roula de coter et enfonça l’arme dans la patte de la bête, qui ne semblait avoir mal. D’un geste de la patte elle lui assena un coup au visage, le capitaine s’effondra au sol, l’arcade sourcilière était fendu et le sang ce mis à couler. Le reptile ne pris pas son temps pour charger de nouveau, le capitaine roula sur le sol pour éviter d’être piétiner. L’animal ce retourna et fit tournoyer sa queux qui atteint le torse et coupa le souffle de sa victime. Lucian profita de cet instant pour reprendre la lance toujours enfourché dans la patte de la bête. Celle-ci ce retourna vite fait et ouvra sa gueule pour lui arracher la tête à coups de dent. Mais dans l’élan de son attaque, elle s’embrocha d’elle-même dans le pique d’acier. Tortillant de douleur, elle ne put ce déprendre de la lance qui lui avait enfoncé dans la mâchoire et ressortait à l’arrière du cou. Le reptile cracha du sang au visage de Lucian, qui ne broncha point, ce concentrant à garder bien enfoncer la lance jusqu’à ce que cette atrocité en meure, ce qui ne prit que peu de temps.
Il balança le corps inerte de la créature sur le coter, remarquant alors que la bête ne devait peser qu’environ soixante ou soixante-dix kilos et pas plus. Ce qui expliquerait sa rapidité, cette créature devait sortir tout droit des enfers pour avoir autant de capacité. Qu’importe ce dit-il, cette bête est morte et ses tout ce qui compte.

Ils ramenèrent alors Lucian dans la cellule sans même soigner sa plais, ils l’enchainèrent au mur de pierre qui faisait face aux deux sergents. Ceux-ci plutôt intrigué par le capitaine qui était le seul à être revenus. Tyron lui posa nombres de question mais Lucian n’en répondu à aucune. Il savait qu’il allait ce transformé, le sang s’était mélanger, et si ce n’était pas le cas il serait vendu. Sont destin était déjà tracer, un future auquel il ne voulait rien savoir. Tyron ce mis à lui criez des insultes, Unas lui dit de ce taire qu’il en avait assez de ces complainte incessante. Une fois de plus ils ce disputèrent et les gardes intervinrent entre les deux hommes.

Les nuits passèrent, Lucian redoutait l’arriver de la pleine lune qui ne devait tarder à ce montrer. Il mangeait de moins en moins mais il semblait ne perdre de poids. Tyron ne le lâchait pas de son regard interrogateur, toujours à l’affut de réponse à ses questions. Une nuit ce présentât plus claire que les précédente, le capitaine leva la tête et aperçus une demi-lune, alors sa serais pour bientôt ce dit-il. Encore deux ou trois nuit et son destin serait fixer, mais qu’importe la voie, celle qu’il voulait était de revoir ceux qu’ils aimaient. La nuit suivante, la lune était plus complète, et la nuit qui la suivait fut décisive.
La lune ce montrait pleine et son reflet de cristal éblouie le capitaine, jamais il n’avait vue la lune si belle, si attirante… Il voulut s’en détacher le regard mais cela lui était impossible, il la regardait avec intensité, une voix intérieur ce mis à parler : « Mère lune, réveille moi, libère moi de cette être impie qui ne mérite ta vue… ». Lucian lui dit de ce taire mais en guise de réponse la voix ce mis à rire. Il sentait qu’il changeait, sa vision s’obscurcissait, sont ouïs s’amenuisait et son odora ne percevait plus l’odeur de la geôle, mais celle de la chaire et du sang. Ses en quelque seconde que Lucian devint la bête qu’il avait combattu, brisant les chaine qui le maintenait sous le regard terrorisez de Tyron, qui sous l’impact de la patte de l’animal, vue sa tête s’écrasé sur la porte d’acier, la défonçant. Le sergent mourût sur le coup alors qu’Unas, avec un faible sourire ce fit un chemin vers l’extérieur de la cellule. Lorsque les gardes vinrent voire ce qui ce passait, ils trouvèrent Unas marchant dans les couloirs. Ils lui ordonnèrent de s’arrêter mais il continua sa route en souriant à pleine dent. Ceux-ci ce transformèrent et le prirent en chasse, au moment même où l’un d’eux tourna l’axe, le varan le piétina, il s’arrêta et fixa les trois autres animal qui le fixait. Il rugit et bondit sur les garous, le premier l’esquiva mais le second ce fit choper la gorge. Le reptile tortillait sa proie dans une rage hors du commun, le sang s’étalait sur les murs, le garous redevint humain et mourut. Le troisième garou lui sauta dessus le griffant, mais la peau épaisse de la bête lui procura protection, et il profita de ce moment pour lui assener un coup de patte au visage. La bête redevint homme et semblait mort également. Le premier lui savait volatiliser, le varan rugis de sont long cris rauque, résonnant dans les couloirs. Il reprit sa course et aboutit à l’extérieur, tout les garous était la et semblait l’attendre, ils lancèrent des filait pour l’immobiliser. Il s’extirpa des premiers et eu le temps de blesser gravement une autre de ses créatures, avant d’être finalement dans l’impossibilité de ce mouvoir. Ils le renfermèrent dans une cage plus approprier, tendis que d’autre partir à la poursuite du fugitif.

۞

Les mois passèrent, Lucian toujours en captivité était dresser comme un animal, et cette voix intérieur fini par devenir qu’un simple murmure. Il fini par apprendre que le varan qu’il incarnait était en fait un Komodo, un reptile de la même race mais contrairement à ses cousins, il était énorme. Celui qu’il avait combattu quelque mois auparavant était l’un des rares survivant de l’espèce, peut-être même le dernier.
Il fut transporter à mainte reprise dans différent village, souvent partit à l’improviste. Les garous voulant éviter que les vampires sachent sont existence. Et c’est alors qu’une nuit, des vampires revenus du front entrèrent dans un village où Lucian était cacher. Partie à la rencontre du chef de meute et leur demanda de les escortés jusqu’au port d’Amaräe, Deroff, le chef, refusa. Le commandant vampire, aucunement satisfait de la réponse lui cracha au visage et lui ordonna de les y emmener. Outré par le geste ingrat du Sang-pur, mais accepta dès lors sa demande. Deroff et Efroy était de vieil ennemie, la querelle entre les deux créatures date du jour, l’où, Deroff sauva la vie d’Efroy qui, par orgueil, ne pu le tolérer. Toujours par orgueil et par racisme, le vampire ce croyait supérieur de son rival. Mais cette fois, l’homme animal ne le laissera pas partir vivant après cette humiliation.
Deroff fit en sorte que Lucian sorte de sa cage et sois enchainer et surveiller de près. Deroff dit aux vampires que le capitaine était un des leurs, qui les avait trahis, et qu’il comptait l’exécuter devant leur souverain. Les suceurs de sangs ne ce posèrent guère de question car cela paraissait normal.

Le voyage fut que très peu ardu, mis à part le soleil de plomb et la tempête de sable rien de grave ne s’était produit. Une nuit, lorsque les voyageurs furent au milieu du désert, Deroff voulu ce venger de l’affront d’Efroy. Il ordonna aux garous de les éliminés en profitant de la pleine lune. Le massacre de ces êtres pures ce fit durant leur sommeille, et les gardes de nuit, ce défendirent du mieux qu’ils le pouvaient. Les affronts entre vampire et garou était rare, mais en ses temps de guerre constante, la tension était à son plus haut.
Lucian avait profité de cette escarmouche pour s’enfuir alors que, transformer lui aussi, avait éliminé ses deux surveillants et pris la poudre d’escampette. Trop occuper au combat, les garous ne le poursuivirent que le lendemain, lorsqu’ils s’aperçurent de sa disparition. Ils ne le retrouvèrent guère et Deroff fut décaper pour son manque de jugement et pour sa trahison. Ces hommes eux furent envoyer de part de-là le désert, sans eau ni nourriture.

Lucian avait atteint les terres d’Aubernym après deux jours de voyage, il avait soif et était affamer. Il trouva un village l’où il trouva refuge pour quelque jours, ce faisant passer pour un voyageur appeler Humas. Il savait inspirer du nom d’Unas qui fut le premier nom qui lui venu à l’esprit. Après savoir rassasier, Lucian repris sa route vers Terrebelum. Le capitaine ne pris de chance et évita soigneusement les grandes villes, il voyageait avec certain marchand qui le nourrissait en échange de son aide durant le voyage. Ceux qui le menèrent à Terrebelum étaient de riche marchand, Lionel Fromnâr, père de sa jeune fille de quinze ans qui ce nommait Arielle. Sa belle mère, Frida, était une marchante que la femme de Lucian côtoyait souvent. Il ne l’avait jamais vue mais celle-ci parlait d’elle dans bien de leurs conversations.
Ils arrivèrent finalement à destination, Lucian les salua et partie vers sa maison, toujours sous sa fausse identité. Il savait que des garous s’introduisait dans la citer, ce faisant passer pour des humains. Il ce rendit tout droit à sa maison, qui, lorsqu’il arriva était brûler. Pris de panique il partit à l’intérieur, tout semblait avoir été brûlé il y quelque jours. Ou sont-elles? Il s’en alla voir un ami de son père décédé il y a de cela plusieurs années, mais il avait toujours gardé contacte avec cette homme politique.
Il cogna à sa porte, un vieil homme répondit et lorsqu’il reconnut Lucian, il le fit entrer avec empressement. Regarda à l’extérieur et referma la porte, ferma les fenêtres et tira les rideaux sous l’air étonner du capitaine. Il demanda à Lucian de le suivre, ils descendirent au sous-sol avec une bougie. Lucian ne comprenait pas ce qui ce passait, sa maison brûler sa femme et sa fille disparus et ce vieil ami qui était très agiter.

-Vous vous devez de quitter la ville messire Lucian… Dit Leonas.

-Je ne partirais pas sans Gillia et Ysëlle! Répondit-il, Ou sont-elle, et qu’est-ce qui ce passe?

-Je… Je ne saurais comment vous l’annoncer Lucian… Mais… Elles sont mortes…

Lucian s’effondra au sol, pendant que Leonas continua la gorge serrer le récit des évènements qui causa la perte de ses aimés.

-Qui est ce noble? Demanda Lucian lorsque son ami fit référence à l’homme qui donna la sentence.

-Sir Unas Haltumus… Vous le connaiser? Demanda le vieil homme innocemment.

Lucian ne répondit, fixant le sol. « Tue-le… » Lança un faible écho.

-Comment est-il devenu un noble… Il n’était qu’un sergent…

« Tue-le… »

Leonas le regarda avec questionnement. Alors ils ce connaissent? Ce dit-il. Mais l’expression d’incrédulité du capitaine le reteint au silence pendant quelque seconde, puis il lança :

-Il est revenu il y a de cela environ un mois, il a parlé de sa capture par les garous et de votre transformation. Il ce serait ensuite enfuit vers le nord mais avant d’atteindre le premier village humain ces bêtes l’aurai rattrapé et ré-emprisonner. Après débat, ils l’auraient vendu au vampire, durant leur voyage en mer, il y aurait eu une tempête. Il s’arrêta un moment, regarda Lucian qui ne bougeai point, toujours à fixer le plancher de bois. Alors il reprit : Il aurait alors tenté de s’échapper avec une petite embarcation, mais les garous l’auraient vue et essayèrent de l’en empêcher. Il serait alors tomber à l’eau avec le commandant à bord, il se serait réveillé sur la cote, près de la Bais Lumineuse. Il aurait repris sa route et en chemin le garou qui s’avait échoué non loin de lui, aurai tenté de le tuer.
Il soupira et repris : Sir Unas l’a vaincu et ramener sa tête en guise de trophée. Il l’a présenta aux souverains de la citer qui le couvrir d’or et de glorification. Ils le nommèrent Noble deux semaines suivant son retour, dès sa nomination il ordonna à des gardes de recueillir votre femme et votre fille pour ensuite les… Les exécutés…

-Comment ont-elles étés exécuté? Et quel en fut la raison!

« Tue-le… »

Lucian perdait peu à peu sa patience, cette voix qui l’avait quitté ce ré-imprégnait dans sa tête. Mais pourtant, cette conscience n’avait pas tord. Toute ces penser voguai vers le sourire arrogant d’Unas, qu’il avait manifesté à mainte reprise durant sont séjour dans la geôle. Leonas fini par ouvrir la bouche :

-Elles ont été brûlé vives sous prétexte de vous avoir hébergé, et d’avoir usé de sorcellerie pour duper la cour. Ainsi, sa expliquai pourquoi jamais personne ne serait venu vous capturer auparavant…

Lucian le regarda dans les yeux, la colère flamboyait dans ces pupilles.

-Et comment Unas savait-il mon nom?

-Je ne saurai vous le dire…

Lucian ce levis et sorti de la maison laissant sont vieil ami seul dans sont sous-sol. Il ce dirigea, toujours cacher en dessous de sa cape, vers les appartements des nobles. Mais les portes était très bien garder, et il ne pouvait ce permettre d’attirer l’attention. Il voulait trouver, questionner et éliminer Unas. Leonas, qui l’avait suivi de loin, le rejoignis et lui proposa un plan. Ils repartirent chez le vieil homme et Lucian ce revêtit d’une armure que le vieil homme avait gardé. C’était son ancienne armure du temps qu’il combattait avec Hervan, le père de Lucian Hervan, avant de ce lancé dans la politique. Revêtit de la sorte, il pouvait duper les gardes et ce faire passer pour un soldat envoyer en messager. Leonas fit une lettre sur laquelle il inscrivit :
À Sir Unas Haltumus, de la part de Leonas Grogirfel.

J’ai un sujet de la plus haute importance à abordé avec vous.
Je vous envoie ce messager, il vous donnera plus d’instruction.

Il termina la lettre en apposant le sceau de sa maison. Lucian partit sans plus tardez sous le soleil qui ce couchait. Approchant les gardes, il donna la lettre, ceux-ci appelèrent un autre garde pour qu’il accompagne le capitaine jusqu’au logis d’Unas. Une fois à la porte, Lucian assomma le garde et le fit entrer avec lui dans les appartements du noble. Celui-ci qui écrivait sur son bureau, ne fit que ce retourner et demanda sans aucune émotion qu’est-ce qui ce passait. Lucian referma la porte et la barra, ce retourna vers l’assassin et enleva son casque. Unas eu l’air surpris.

-Comment?

-Cela n’a aucune importance, j’ai deux questions! S’exclama Lucian

-Ah? Alors, quel sont-elles? Répondit-il de son ton d’impertinent.

-Pourquoi les avoir condamnés… POURQUOI?

-Oh, mais ses très simple mon ami, elles étaient un danger. Votre retour ici n’était pas le bienvenu, et, j’ai voulu faire en sorte que vous n’ayez aucune raison de revenir. Unas était calme, et parlait avec supériorité. Mais il semblerait que j’ai échoué et, que la vengeance est devenue une de vos motivations.

Lucian le regarda un bref instant, il lança alors une deuxième question.

-Comment aviez-vous connu mon nom?

-Allons voyons. Dit-il avec un air agacer. Vous rappelez-vous du messager portant la missive? Ce pourquoi nous n’avons jamais eu de renfort, c’est que cet homme ne s’est jamais rendu à destination. Mais apparemment il y a de cela environ un an, des voyageurs auraient trouvé le cadavre du pauvre soldat. La missive toujours dans sa besace, ils le rapportèrent à des gardes qui la donnèrent aux nobles. À mon arriver, ils m’ont montré cette lettre et votre nom y était inscrit, ainsi que votre rendement. Étant le seul capitaine, votre nom n’était plus une question.

« Tue-le… Tue-le…TUE-LE! »

-Maintenant que j’ai mes réponses, votre existence m’est inutile. Dit Lucian avec une voix qui n’était sienne.

Unas sourit et écarta les bras, formant une croix avec son corps.

-Allez y, je ne crains la mort n’y ses noir abysse. Dit-il cette fois sans la moindre arrogance.

Les deux hommes ce regardèrent, Lucian s’attendait à un piège. Mais la bête en lui, le poussa à attaquer, il brandit son arme au cou du noble, qui ne fit rien, et laissa sa tête décoller de ses épaules. Elle roula au pied de Lucian qui la contempla sans la moindre satisfaction, il fini par sourire, un sourire qui n’était pas le sien. Il sentait la folie l’emporté, et cessa de s’esclaffer. Il ce mis à tremblé et il vomit au sol. Il voulut contenir cet être en lui, mais en vain, celle si commençais à prendre le contrôle de ses gestes. Ses trais devinrent ceux de l’arrogance, le teint de ses yeux devinrent plus pâle, l’animal qu’il hébergeait à contre cœur avait repris le control de lui. Cette voix qui n’avait plus résonné depuis si longtemps retentit de nouveau : « HAHAHAHA! Ton être m’appartient, ta vie, ton future… »

-NON!

Lucian couru à l’extérieur et dévala les escaliers sous le regard stupéfait des gardes. Leonas qui l’attendait avec des chevaux coupa sa course.

-Lucian?

Lucian empoigna sa tête de ses deux mains et cola sont front à celui du vieil homme. Et il lui murmura :

-Il est mort…

Il poussa Leonas et partie avec l’un des chevaux.

۞

Leonas Grogirfel fut exécuté pour complicité au meurtre du noble Sir Unas Haltumus. La tombe d’Unas fut profanée quelque jour après son enterrement, sa tête que l’on avait placée dans la même tombe était la seule chose qui disparut. Les nobles conclure que cela devait-être Lucian. Qu’ils déclarèrent coupable de meurtre, et d’être un ennemie du royaume de Terrebelum. Sa tête fut mise à prix, mais les mois et les années passèrent sans aucune trace de Lucian. Sa sentence à mort fut dissoute environs cent-cinquante ans après le meurtre d’Unas, pensant que la possibilité qu’il ait survécus temps d’année, sans donner signe de vie, alors que non seulement Terrebelum voulait sa tête, mais également les garous. Qui eux, avec le temps, alors que trois-cents ans s’avait écoulé, voyait cette histoire comme une légende.

Après près de quatre-cent ans, Lucian fut oublié. Le seul souvenir restant du capitaine est l’inscription sur la tombe d’Unas :


Noble, Sir Unas Haltumus
Assassiné Dans Ces Appartements Par
Le Capitaine, Et Fils De L’Ancien Général De Terrebelum
Hervan Godrichenberg :
Lucian Hervan Godrichenberg



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Lucian Hervan Godrichenberg (Validée) Empty
MessageSujet: Re: Lucian Hervan Godrichenberg (Validée)   Lucian Hervan Godrichenberg (Validée) EmptyJeu 1 Juil - 16:14

Bienvenu à toi Lucian! Ta classe à été accepté ainsi que ton personnage! Tu commencera à la grande place St-Odimir dans Terrebelum! Bon jeu!
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