Dorian, Le Saint (Validée)

Prénom et Nom: Dorian
Surnom: Le Saint
Âge: 43 ans
Race: Humain
Votre Dieu: Honoreus, dit le grand faucon

Description Psychologique: Née dans une famille de guerrier il apprit très vite l’art de la guerre, mais une part de lui manquait. Il le trouva plus tard à l’assassina de sa famille, alors qu’il eut une vision. Honoreus, le grand dieu de l’honneur, la gloire et du bien, le quémandait auprès de lui. Dès lors son aversion pour toute créature grondait dans ses tripes. Une fixation qu’il ne relâcha guère avec le temps, son amour pour son dieu lui à fait faire des atrocités hors du commun et ce serait sans hésiter qu’il recommencerait. Mais, tout être croyant à son dieu ou en quête d’une divinité, est une personne qu’il peut alors exprimer du respect. Gare à ceux qui s’opposerons à sa fureur, ses châtiments son des plus immoral, une mort rapide est pour lui un déshonneur au grand faucon, la mort de ses ennemies sera donc lente et douloureuse. Il respecte également les différentes visions que certain paladin traduise des écrits d’Honoreus, mais ne digère pas que l’on essaie de changer sa manière de penser ou d’agir. Dorian est un être réserver, polie, respectueux, modeste et qui (malheureusement) est très coléreux. Meneur d’homme, ses idées son toujours d’une clairvoyance accru, jamais il ne répètera la même erreur deux fois, et malgré son tempérament, il accepte aussi bien la défaite que la victoire, sachant que ses la volonté de son seigneur tout puissant. Il ne demandera que très rarement une intervention divine, pensant que d’abuser des pouvoir du grand faucon en est de prouver à sois même au combien nous sommes faibles.
Description Physique : De grande stature, sa carrure est du au nombreuse bataille livrer. Les cheveux courts et aucune barbe, quelque cicatrice orne son visage. Son corps lui, en est parsemé, des coupures, des lacérations ainsi qu’une cicatrice dans chaque poignet et dans chaque pied. Âgé de quarante-trois ans, il n’en reste pas moins en forme, toujours près à combattre. Il sourit que très rarement et ces yeux autrefois bleu-vert devinrent de plus en plus grisâtre. Une lueur verte continu néanmoins à montrer quelque lueur de temps à autre, surtout sur l’adrénaline du combat.

Classe de votre personnage : Paladin

:: Classe de Contacts ::
Arme de Prédilection: Épée bâtarde et bouclier de cavalier.
Compétence Spéciale: Aura de Lumière (Le Paladin tire sa puissance directement de la volonté de son Dieu et par conséquent ce voit attribuer la maîtrise d’un aura de lumière qui renferme une magie blanche éblouissante.)


Histoire de votre personnage:

De par la chaire et le sang, de par le froid de la mort, de par delà les régions obscure qu’il foula, Dorian naquît une seconde fois. De par l’épée qu’il maniait au nom d’un dieu, d’un être pure qu’il défini, par le temps, comme sa seule famille. Au détriment de ce qu’il croyait juste, il tua sans merci ses adversaires, laissant derrière lui un carnage des plus totales. Au nom d’Honoreus, il fit tout. Menant maints hommes dans les endroits les plus dangereuses, les plus morbides, des terres dévastées par la haine au sol teinté de sang. Chaque bataille contre les hérétiques était pour lui un combat en quête de lumière, cherchant au travers de ces impies, son chemin vers la main de son dieu. Celui-ci la lui tendait, ouvertement depuis qu’il a massacré son tout premier ennemie, une créature vivant de nuit, détaché du monde qui s’élevait de par la lumière. Un être aux crocs acérer, vivant pour ce nourrir de sang, ce vampire eu choisi le mauvais opposant. Car ses d’une étrange manière que Dorian, pour la gloire d’Honoreus, l’envoya dans les abysses. Il ce laissa arpenter par la créature, celle-ci lui tournant autour, comme le vautour trouvant une proie meurtri. Dorian ne le quittait des yeux, bouclier à la main, épée dans l’autre, son regard froid et perçant, il ne le quitta pas. Fixant son adversaire comme celui-ci en fit, immobile dans la rue saccager par les combats précédant. Le vampire avait peur de Dorian, peur de cette arme qu’il tenait ferme, peur de son dieu tout puissant qui lui donnera la force de vaincre. La créature fini par s’agenouiller et implora de le laisser en vie. Aucune réponse ne fit écho, seulement les cris agonisant du vampire, de trois pieux il fut clouer sur un mur, de par une prière il prit feu. La longue agonie de l’impie justifiai que son geste était le bon, et, les autres paladins finir par le joindre, dans un silence le plus complet ils fixèrent la scène. Seul le crépitement et les hurlements de la créature ce faisait entendre en cette nuit, nuit que Dorian n’oubliera jamais.

Après cette nuit il monta en grade, il l’accepta comme un présent de son divin père qui, de là haut, le regardait. Le temps passa et il grimpa les échelons, devenant un haut dignitaire, il mena alors des hommes de par la mer, pour pourfendre les démons, dans une chasse aux hérétiques. Une croisade de sept ans s’en ai suivit, parcourant les terres hostiles qui s’étendait à l’est. Les hommes de biens avaient débarqué sur les côtes de Vargrad, l’où toute résistance furent vaine, face à la force et le nombre que furent les paladins. Jonchant la rive pour s’engouffrer dans les pays de l’est, bon nombre de village qu’ont visitez les hommes de dieu, n’était plus que flamme et chaire bruler à leur départ. L’un des villages, différent de tous ceux qui le précédait, semblait harmonieux et construit à la manière de sa race. Ils s’en approchèrent, et au même moment, brisant alors la paix que ce village reflétait, fut attaquer par les orques. Être impie, sans loyauté, vivant au détriment de la souffrance d’autrui, ses avec colères que Dorian conduit les paladins à gouter le sang de ces créatures. Éventrant, arrachant, lacérant, déchirant, la chaire de ces bêtes maléfique qui ce rependirent au sol à la vitesse d’une épidémie. Alors que victoire fut criez, l’un des villageois vint remercier ces braves sauveurs, lorsqu’elle révéla sa peau d’un noir de nuit, ces cheveux d’un blanc d’étain et son regard reflétant tel un miroir l’image du paladin. Celui-ci, avec une voix métallique dû à son casque, proclama ces mots : En vertu de votre danger imminente, je vous est sauvez, mais à regret… Il ce tourna alors vers ces hommes. Ces au nom d’Honoreus que nous les avons sauvez, et toujours en son nom que je les condamne au bûcher… Brûler-les!
Les paladins au ordre de Dorian s’avancèrent et enferma, dans leur demeure, les demi-drow qui tentèrent de résisté à leur emprisonement. Ces avec nombres de coup de poing et de pied, que les hommes d’Honoreus matèrent ses infidèle et celas les portes. Dorian s’avança vers la première demeure à sa gauche, leva d’une main un flambeau qui alluma aisément la paille qui recouvrait la toiture. Tous en firent autant, la braise s’élevant des maisons illuminait ses terres dépourvue d’humanité, illuminant alors ce monde par la justice du grand faucon. Les cries de terreur de ces habitants, cessèrent lorsque les toits finir par s’effondrer, créant des bruit de craquement, les flammes s’étendirent au sol, brûlant les corps inertes des orques précédemment tuer. Après que les feux s’ures éteint d’eux même, les paladins fouillèrent les décombres à la recherche de survivant. Tout survivant trouver, furent capturer, crucifier et emmener au village suivant. Ce servant de ces corps agonisant, ou mort durant le voyage, comme étendard, un message direct de leur venu, l’image même de ce que Dorian voulait démontrer à ces hérétiques, la puissance d’Honoreus. Forteresse tout comme petit village furent fouiller et mis à feu et à sang, beaucoup tentèrent de résister à l’envahisseur, mais celui-ci étant plus de deux-mille hommes, ne pouvait être repoussé. Le monde qu’était l’est, sois chaotique, fut dès l’arriver de Dorian et ses paladins un monde beaucoup plus plonger dans les ténèbres. Ce qui mis fin à sa croisade, fut une résistance inattendu, alors qu’ils ce dirigeaient vers Shiliak. Des milliers de créature s’étaient regroupé pour repoussé les paladins et leur massacre. En voyant leur arrivés, Dorian ordonna de charger les catapultes, ce que ce furent lancé les armer opposant Dorian, furent des corps sanguinolent, démembrer, le tout dans un filet de chasse fortement resserrer. Leur os briser et leurs chaires déchiqueter s’écrasèrent lourdement au sol, laissant échapper du filet une mare de sang, et avec une résonnance morbide les os déjà casser craquèrent sous l’impact de la chute. Les têtes décapiter qui avait encore leurs yeux fixaient, avec avidité, l’essence encore vivante de ces êtres qui opposaient les paladins. Pris de fureur aveugle, le chef de la horde sonna le cor de guerre, faisant avancer l’armer, Dorian leva la main, une fois que celle-ci s’abaissa, les flèche décochèrent et plusieurs atteignirent leur cible. Lorsqu’assez proche, ils dégainèrent leurs épées et chargea l’ennemie au nom d’Honoreus.
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Ces une accablante défaite qui suivait Dorian, ses hommes furent tuer et lui crucifier, comme il a fait lui-même au hérétique. Il fut alors entrainer à Shiliak pour que celui qui la vaincu démontre sa toute puissance. Dorian fut entrainer jusque sur la place publique et exhibé, l’on le lapida et lui jeta de la nourriture, celui-ci malgré la douleur continua à les injuriés. Lorsqu’ils le détachèrent de la croix de fortune, ils l’agenouillèrent et ce mirent à le fouetté. La douleur intense qui lui était infligé n’adoucissait pas ses mots : Bande de bâtard! Vous subirez la colère du grand faucon sale chien! Tous autant que vous êtes, vous serez châtié comme la peste!

Les mois passèrent, le désert avait lancé à mainte reprise ses tempêtes qui pu donner à Dorian, les moyens de s’échapper de Shiliak. Honoreus n’en avait pas terminé du paladin, ses loyaux services ne pouvait être négligé et ses avec reconnaissance que le grand faucon le libera de cette fâcheuse position. Il abandonna son armure et ce vêtu piètrement pour échapper aux êtres de la nuit qui peuplait l’est. Parcourant les terres sur des miles et des miles, jusqu’à trouver la mer. Longea la côte pour trouver un village auquel il pourrait voler une petite embarcation et, si dieu le veux, retourner chez lui saint et sauf. Ces des villages saccagés qu’il croisa, nul doute que ce fut lui et ses hommes, Dorian trouva un petit navire de marchand. Quelque troue dans a coque, les voiles en lambeaux et infester par les rats, cela lui pris quelques jours mais il pu le remettre à l’eau et naviguer avec aisance vers la côte ouest. Ce dirigeant alors vers son domicile, dans l’espoir de prendre sa vengeance sur les monstres de Shiliak. Son père, dans sa toute grandeur, lui donna également un voyage serein, aucune embuche et des poissons en grande variété. Il passa quelques jours à joncher les vagues jusqu’à Terrebelum, une fois qu’il aperçu la demi-sphère qui surmontait la basilique, il ce sentit enfin en sureté. Le soleil transperçait faiblement les nuages, reflétant avec douceur le nacre blanc de la citer. Il accosta au port l’où tous ce retournèrent et avec incrédulité le dévisageaient. Il fit son chemin au travers la foule et les marchands, ce rendant à la cathédrale. Son allure pittoresque avait atteint l’attention de beaucoup, déambulant tel un mendiant dans les rues de la citer forte. Les gardes le répugnait du regard et les paladins l’ignorait, lorsqu’il atteignit la basilique, il ôta son capuchon et jeta la toge au sol. Il entra dans l’entre saint torse nue, révélant les nombreuses cicatrices sur son corps. Son odeur que peu agréable semblait avait attisé la répugnance chez beaucoup de jeune paladin. Il ne ce préoccupa guère de ses recrus et partie vers l’hôtel, un homme lui coupa le chemin : Dorian? Par Honoreus que vous est-il arrivé? Dorian fit la demande d’un bain et de nouveau vêtement, sans pour autant ce préoccuper d’avantage de sa question. Une fois propre et en tenu convenable il quémanda une chambre, le long voyage l’avait fatigué et depuis si longtemps souhaitait-il pouvoir dormir dans un lit.

Le lendemain à l’aube, il repartit voir son ami de la veille, il le trouva non loin des archives de l’église : Votre passion pour la lecture ne semble n’avoir changé n’est-il pas? Questionna Dorian. Et sans ce retourné le prêtre répondit :

-La lecture est un outil important dans l’apprentissage, la recherche de la connaissance, et autre subtilité qui reste que trop confus pour y avoir une réponse. Mais ces subtilités peuvent être mises à découvert lorsque l’on cherche au bon endroit, ou dans le bon livre… Mais cela ne répond en rien à ma question ami, votre croisade fut longue et votre retour incognito est des plus étranges… Hier j’ai posé une question à laquelle aujourd’hui je demande la réponse, comme un dut pour mes services. Il ce retourna et plongea son regard dans celui de son interlocuteur. Que vous est-il arrivez Dorian? Où sont vos hommes? Deux-milles paladins ne peuvent ce perdre dans un jardin, où sont-il?

La mention d’un jardin dans de tel circonstance fit apparaitre un faible sourire aux lèvres du paladin, il ce repris et regarda le sol. Les dalles de marbre étaient décorées de fine gravure à l’attrait elfique, le symbole d’Honoreus ornait le centre de chacune de ses dalles. Dorian soupira et releva le regard vers son vieille ami : Morts, tous au nom du grand faucon. Nous avons percé jusqu’au abord de Shiliak, une armer démesurément nombreuse nous ont fait front… La suite est des plus faciles à deviner…

Les deux hommes ce turent un instant, un prêtre entra dans la pièce, les regarda de son angle mort, trouva quelque parchemin et repartie. Tout deux continuait de ce fixé, le prêtre fit signe à Dorian de le suivre, ce que le paladin fit. Ils déambulèrent dans les longs couloirs de la cathédral et empruntèrent les escaliers. Le vieux prêtre le menait voir les hommes du conseil, ce qui ne dérangeait en rien au paladin qui comptait leurs faire part de sa croisade. Il prépara mentalement le rapport qu’il fera à ses seigneurs. Ils quittèrent la cage d’escalier pour longer un couloir drapé d’étendard de tous les âges, un tapis de couleur or s’étendait au sol. Ils firent face à la porte en bois, grande d’environ trois mètres les gravures semblable à ceux des dalles décorait l’entrer. Les portes s’ouvrirent, laissant échapper un faible grincement dans la sale du conseil. Les vitraux qui remplaçaient les fenêtres conventionnels, représentait Honoreus sous plusieurs formes, souvent armer d’un glaive et d’un bouclier portant son effigie. Les représentants du conseil étaient assis face à une statue du grand faucon qui ornait le centre de la pièce. Avec respect Dorian et son ami s’inclinèrent face au grand maitre, assis au milieu de ces conseillés il regarda les deux servant d’Honoreus avec attention.

-Relevez-vous brave paladin. Dit alors le maitre. Bon nombre de messager envoyé de par vos soins nous ont fait part de vos exploits. Un honneur pour nous et pour le grand faucon d’avoir une âme vaillante qui combat les servants du mal avec autant d’ardeur. Votre cœur ces ranger du bon coter semble t’il.

Dorian inclina légèrement la tête, c’était pour lui un honneur d’être complimenter par le grand maitre. Que peu d’homme peuvent ce vanté que cela leur est arrivé : Ces pour moi, un honneur des plus grand que de servirent la cause la plus juste…

-Je n’en doute guère paladin, votre foie est sans nul doute immense. J’aimerais néanmoins avoir votre version des faits, votre voyage, de son départ il y a sept ans jusqu’à votre retour. Car certaine chose semble avoir besoin d’être éclairci, et je crois que votre humble personne ait toute les réponses.

Dorian s’inclina de nouveau, récita les évènements de son départ jusqu’à son retour, ainsi qu’un rapport détailler sur l’armement et la défense ennemie. Le conseil écoutait attentivement son rapport, par certain moment, leurs visages changèrent d’expression, de l’impassible à l’étonnement, du dégout à la terreur… L’éclat du matin avait rendu l’âme et midi sonna ses cloches, tous prirent une pause et reprirent l’écoute du récit. Les carreaux s’illuminèrent de par la luminosité du soleil couchant, plongeant la pièce de couleur or, laissant reluire de cette douce lumière les armures et bouclier qui garnissait la salle. Lorsque Dorian s’interrompit, le soleil s’était couché à l’ouest. Il abaissa la tête vers ses seigneurs pour ainsi conclure son histoire. Tous le regardèrent avec une certaine attention, ils ce mirent à chuchoter, parlant avec, semble t’il, beaucoup de précipitation. Le grand maitre leva alors sa main, tous ce turent et s’inclinèrent devant le sage, le silence étant complet il ce mis alors à parler : Sept ans… Deux milles hommes partirent et un seul revint… L’amour que vous porte Honoreus vous voue d’un grand respect général Dorian, paladin et servant du grand faucon. Votre histoire aussi grandiose soit-elle n’a pas éclairci toute mes craintes… La première de mes questions est donc, pourquoi avoir tué ces êtres dans le village qui semblait être celui des hommes?

-Ils étaient des êtres à la peau noire messire, leurs cheveux blancs comme de clair nuage, des yeux d’un gris qui reflétait tel un miroir notre reflet…

-Pourquoi vous auraient-ils approché sachant que vous étiez des paladins? Demanda le maitre qui semblait intéresser par ce village.

-J’ai su que ce village fut celui d’un groupe de barbare qui avait accosté à l’est, trouvant l’endroit paisible ils s’y installèrent. Ils furent attaqué non longtemps après et quelque demi-drow prirent ce village déserter et loin de toute population pour s’abrité. Ensuite, pour répondre à votre question, que je n’aurais pu répondre si je n’avais questionné nos prisonniers. Ceux-ci ne connaissait absolument rien des conflits extérieur, ils ne surent si nous étions de leur coter, voyant que nous les avions sauvé ils crurent que oui…

-Donc n’avez-vous aucun regret d’avoir tuer des innocents? De ce que je comprends, bien qu’ils furent des créatures ils n’ont rien fait qui va à l’encontre des vœux du grand faucon.

-Je l’ai est personnellement questionner sur leur croyance, j’ai cru également avoir commis une erreur en déciment ce village… Mais leur croyance voguait vers Shaska…

Le silence plongea la pièce de sa paix, le sage pensif déclara alors qu’ont ne pouvait alors en vouloir à Dorian d’avoir agis de la sorte. Il posa par la suite quelque question qui semblait le tracasser plutôt que d’avoir une réel importance, et il fini par insister sur un sujet : Votre évasion est d’une aide divine sans nul doute, mais il ne vous à pas porter de ces ailes jusqu’à Terrebelum. Une part de vous à jouer dans votre périple, vous n’avez pas très bien précisé votre évasion, j’aimerais que vous me disiez comment vous avez sortie des donjons.

-Les tempêtes de sable furent fréquent pendant quelque jour, l’eau fut que peu potable et ils ne voulaient ce salir les mains dans un tâche si ingrate. Commença Dorian. Ils prirent quelque uns de leurs prisonniers, tel que ma personne, pour creuser le sol à la recherche d’eau. Durant une de nos recherche près des murailles de la citer, l’on sonna la cloche, une autre tempête faisait rage et ce dirigeait vers la forteresse. Avant que l’ont ai pu ce réfugié, les vents et le sable nous avaient engouffré. Celui qui tenait mes chaines les relâcha un bref moment, que j’utilisa pour l’abattre et subtiliser les clés. Je m’engouffra ensuite dans une étable et pris les toges qui était entreposer dans l’entrer, j’attendis la fin de la fureur de la nature pour ensuite me mêler au paysan qui bondait les rues de leur présence…

Un nouveau silence, aucune expression dans les traits paisible du grand maitre. Les autres conseillé ce regardait entre eux et ce mirent à murmurer de nouveau. Le sage repris alors la parole, faisant taire au même instant ses pies qui lui servait de consultant : Merci d’avoir répondu à toute ces questions, votre clairvoyance et votre sagesse saura vous guider aux mains du grand faucon Dorian, maintenant que tout est en ordre vous pouvez quitter la pièce et vogué à vos plus humble occupation…

Sans un mot de plus, il s’inclina et parti au coter de son ami le prêtre qui avait resté à sa droite tout le long du rapport. Ils ce quittèrent près de ses appartements et Dorian parti pour sa part en ville, utilisant la nuit pour pouvoir marcher et penser à son future. Quelque années passèrent et le paladin n’avait quitté Terrebelum, il abandonna son titre de général ne voulant plus sortir de son royaume. Ce promettant que maintenant il protègera ses terres plutôt que d’expier les hérétiques qui s’étendait à l’est, plongé dans le chaos et les champs teinté de sang…


Test de Rôle Play: Tout ce que j’ai écrit je suppose…
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