Nom : Gor’kun
Age :172 ans
Description physique : Un peu plus grande que les orque moyen, sa masse musculaire est cependant plus légère que la plus part des guerriers orques (Dut a son enfance) . Il a les cheveux long au épaules, noir sales. Sa peau est vertes foncé, ses yeux brun. Son corps est couvert de cicatrices blanchâtres. Son visage n’a que deux petites cicatrices, une au sourcil droit et une sur la mâchoire sur le coté gauche. Les canines du bas son prédominantes.
Description Psychologique : Gor’Kun est un orque de combat, il adore la sensation de l’adrénaline et l’odeur du sang. Il s’emporte facile étant un berserker et est le premier à se battre au front. Son passé avec les drows la accommoder au plaisir de la torture. Ne vous fier pas a son histoire, il reste un tueur sanguinaire et immoral, Il a tué sont lot d’enfant et de femmes. Aujourd’hui, il profitera de chaque situation pour y tirer une bourse pleine.
Classe : Berserker (Berserk)
Armes : Deux haches a une main. Habituellement, les berserker utilisent des armes a deux mains. Gor’Kun préfèrent rouer son adversaire de coups le plus rapidement possible. Cependant cela implique qu’il se fatiguera plus rapidement.
Aucune spécialité
Histoire :
-Je refuses
Les conseillers restèrent silencieux, incrédule devant une telle réponse. D’un signe de main, le général lui permit de s’exprimer en plus ample détails.
-J’ai servi notre nation pendant plus de cent ans, j’ai obéi a chacun des ordres qui me fut octroyer, j’ai tué plus d’hommes qu’il m’est possible de le compter. J’ai étudié l’art de la guerre et appliquer ses méthodes en l’honneur de notre nation. J’ai concédé ma vie a la protection de notre peuple…j’ai…
-Vous allez obéir sergent, coupa le général, votre dédain est prit en note…mais vous n’avez pas le choix, j’en ai décidé ainsi …inutile d’en discuter plus longuement. Le peuple drow s’est installé ici avec l’accord du conseil, ils sont nos alliées…leur présence est une nécessité. Cependant, ils ne sont pas encore complètement accoutumé au monde extérieur, la lumière, les plaines et déserts ne sont pas naturel a leur égard. C’est pourquoi nous avons annexé ton unité a la dernière matrone…tes traqueurs seront un ajout primordial pour eux. Nous avons déjà discuté des détails, nous enverrons un émissaire dans une heure pour vous transférer à la matrone.
Irrité, Gor’Kun se releva le visage crispé, les mains tremblantes et le corps couvert de sueur. La colère émanait de son corps. L’orque prit une grande inspiration, il ne devait pas faiblir devant l’adversité, devant la rage qui bouillait en lui. Son honneur était en jeux. Il jeta un regard à son supérieur puis au conseil. Il ne pouvait que fantasmer de repeindre les murs du sang de ceux qui osait le déshonorer ainsi, mais il n’en ferait rien, il en était incapable. Sans un mot, il sorti de la chambre. Il marcha droit devant lui, sans sourciller, concentrer a ne rien détruire.
Il se rendit à ses quartiers en un temps record ne laissant pas les regards indiscret le déranger. Il n’était pas d’humeur à admirer architecture et art.
Il claqua la porte de sa chambre. En un instant poterie et meubles devinrent poussières et débris. Le silence ne fit pas épargné, déchiré par un grondement retentissant. Il s’arrêta, il devait se contrôler…garder son sang froid…il voyait rouge…le berserk en lui bouillais…il pouvait sentir une odeur de sang, son propres sang jaillissait de ses lèvres écraser par ses canines…
Respire…respire…se murmura-il, lentement sa vu s’éclairci et son cœur ralenti. C’est ca…du calme…ARGH! …COMMENT OSE-IL!!!! Tous ses muscles se contractèrent de nouveau…Du poing droit il fracassa le mur le plus proche. Des années de servitude et de sacrifice…et pourquoi!? Pour servir de laquais a ses vermines de drows! Beugla-il
Puis, il laissa tout tomber. Il s’assit doucement sur son lit. Las, il essuya son visage du premier drap venu. Combien de temps serait-il sous la tutelle des drows…il ne le savait pas…semaines, mois ou années, rien ne lui avait été transmis d’ailleurs rien ne lui seras préciser…Un orque doit répondre au ordre sans jamais se soucier de la longueur ni de la difficulté de la tâche. Gor’Kun s’exécuterais, comme a son habitude, seulement cette fois…le cœur n’y était pas…
Une heure passa, le messager vint a lui. Sans sourciller, il suivit les instructions. Il devait se rendre à la troisième maison drow pour y rencontrer la matrone et son futur commandant. Il sillonna les rues sans encombre. Les gardes de la maison lui confisquèrent son armement, l’orque n’appréciait pas être désarmé. Mais cette mesure de sécurité n’avait rien d’exceptionnelle.
-Bois! Ordonna le garde en lui tendant une potion
Une potion de perte de sens…Gor’Kun en avait entendu parler, mais jusqu'à maintenant il avait cru à des superstitions. Elle servait de garantie qu’aucun étranger ne puisse révéler les secrets à l’ennemie. Les drows et leurs stupides guerres internes…de futile perte de temps et d’énergie pensa le guerrier. A contre cœur, il but cul sec laissant le gout amer couler dans sa gorge. Rapidement sa vision s’embrouilla et les sons disparurent .Un noir abyssale le recueillie, le temps s’arrêta… Lentement, l’odeur d’un souvenir lui submergea l’esprit, une odeur de sable et de sueur. Il était de nouveau jeune…faible…maigre…idiot
Il avait vécu son enfance dans une tribu du désert, souvent référé comme étant des sauvages, résidu d’un lointain passé. A l’époque, le monde moderne et civilisé était pour lui un univers lointain, inatteignable et hostile. Il était loin se doutait que se jour la que non seulement il serait forcer de quitter sa culture natale, mais aussi de devenir un guerrier. Selon les mœurs de son village, les hommes pouvaient atteindre deux statuts sociaux, chasseur ou shaman. Leur avenir était décidé à la naissance par le physique du nouveau née. Gor’Kun fut désigner shaman…il était frêle et sensible. Pendant douze ans, il fut instruis a suivre se chemin sans qu’il n’eut jamais à s’interroger sur quoi que se sois. Il était heureux, sa vie le comblait …
Un hurlement tira le jeune orque de son sommeil. Confus et paniqué, son esprit prit un long moment pour assembler bruits et odeurs. Il se focalisa d’abord sur le tapotement de la pluie, l’odeur de fumée, le bruit de sabots…puis les vinrent les crie d’agonie, le gout amer du sang sur sa langue…Un grand frisson de terreur le foudroya et son cœur se mit à pomper l’adrénaline travers son corps. Dans un mouvement illogique et stupide, il sortie de son abris seulement armée de son instinct.
Des cavaliers mettaient le village à feu et à sang, tuant sans discernement femmes et enfants. Dans la panique, les chasseurs se rassemblèrent au centre du village pour protéger la seule chose qui leur restait : leur dignité. Gor’Kun ne se rappelais pas comment il avait échappé au cavalier, encore moins comment il avait accompli de rester en vie avec les finalistes de se combat barbare. Cependant, ses souvenirs sont d’une précision déconcertante. Acculé, les derniers survivants tentèrent une dernière percée a travers les cavaliers noirs, mais leur force brute ne fut pas de tailles face a leur ennemi agile et vif. Tous tombèrent blessé ou mort…Gor’Kun ne pu à peine lever le petit doigt qu’une masse lourde et morte tomba sur lui. Enfoui sous une montagne de cadavres, le sang de ses frères ruisselait sur tout son corps…Ce fut a se moment précis que son âme se brisa, que la ligne entre folie et raison se fractura, ce fut a se moment exacte qu’il devint un tueur, un guerrier bouillant de rage…son cœur criais vengeance.
Dans un élan de colère, il sorti le bras droit de l’amas cadavérique puis le gauche puis il se hissa lentement l’étreindre de la mort. Les envahisseurs avaient déjà tourné le dos à leur méfait certain de leur succès. Ils furent surpris d’entendre le jeune orque hurler à pleine gorge, un cri de désespoir animal. En un instant, l’orque roula au sol pour empoigner une épée brisé et sprinta, crachant ses poumons, vers le premier adversaire. Pris on dépourvu, le soldat n’eu le temps de bouger que déjà, la lame transperçais son épaule puis son torse, il sentit la lame frapper encore et encore…l’intensité vint a son paroxysme et s’arrêta, les grognements disparurent et le monde devint un ombre.
L’orque s’arrêta, une vision d’horreur gisais sous lui, il était la, accroupi, sur le corps ensanglanté d’un homme. Paniqué, il laissa tomber son arme de fortune puis observa la scène autour de lui…son village bruler, sa famille lapidé…la colère gronda de nouveau. Il prit le visage de sa victime entre ses mains l’observant…Qui auraient pu commettre une telle atrocité!? Des démons fantasma-il, des démons noirs aux cheveux blancs! Il fut tiré de son délire par violent coup de pied au bassin (Il se fait botter le cul). Un sursaut de rage le fit bondir sur place face à son assaillant. Les muscle raide, il grogna, de nouveaux un animal sanguinaire. Il jeta sur le drow qui cette fois n’eu aucun mal à l’esquiver. Un petit pas sur le coté puis un bon coup de genoux au visage servi d’entré. L’adrénaline eue rapidement raison de la douleur et l’orque chargea de nouveau, cette fois il se prit un pied en plein visage...Il n’était clairement pas de taille. Cela ne l’empêcha pas de tenter le manège plus d’une dizaine de fois. Le drow se lassa de leur petit jeu en premier. Il paralysa le jeune orque d’un coup sur la tempe puis le rua de coups dans une symphonie de cries et de rires. Les drows l’épargnèrent dans le seul de but de rendre son existence misérable. Peu après qu’ils aient eu fini du village, des orques de Shiliak vinrent récupérer le peu de survivants.
Ce fut ainsi que la vie de Gor’Kun changea littéralement. Peu après qu’il eu récupérer, il s’enrôla dans l’armée orques, non pas en tant que Shaman mais bien comme un guerrier. Pendant plus d’un centenaire il entretenue une haine viscérale envers les drows et leur culture. Ce fut le carburant de son existence, il devint d’abord un guerrier confirmé puis berserk. Lentement, son esprit divergea sur différent moment de son existence, il se sentait en paix…
Une douleur au visage l’extirpa de son délire
-On a fais de beau rêve? Lui cracha un drow, le poing rougi par l’impact. Tu…Vous allez rencontrez la matrone…une occasion unique pour la ver…la race des orques…poursuivit-il en frottant sa main, l’air agacé. Ne lui adresser pas la parole en aucune occasion, notre divine maitresse n’est pas enclin a attendre la voix impure d’un mons…
Gor’Kun se leva, imposant, les yeux froncer. L’envie de transformer l’esclave en mollusque lui chicota l’esprit. Il n’en fit rien…Il l’écarta d’une main, s’assurant de serrer suffisamment fort pour laisser une marque. Sans plus attendre il entra dans la salle du trône. Il peine eu il le temps de regarder autour de lui qu’il fut ordonné de s’agenouiller. Il s’exécuta rapidement. La matrone le sermonna, arrogante et hautaine, elle débuta par une rafale d’insultes, pour le tester sans doute. Il ne réagi pas…en fait, il n’écouta que les dernières phrases de la femme. Il savait pertinemment qu’elle lui enverrait les détails sur papier. Rapidement, il fut libéré et envoyer a ses nouveaux quartiers. Ces ordres étaient simples, on l’assignait à une unité spéciale de cavalier drow et il devrait servir en tant qu’expert de terrain. C’est ainsi qu’il passa plus de 40 ans en compagnie de son capitaine, un drow nommé Reins'him.
Leur relation commença comme elle devait commencer…par des injures raciste et banale. Mais de longues années parsemées de combats et de conflits rapprochèrent les deux hommes. Au fil des ans, l’orque découvrit une droiture et une loyauté sans limite au sein de l’elfe noir, il constata que tout deux partageaient la passion du combat, de la vie militaire et dans une certaine mesure, celle de la bonne chaire et de l’alcool. Une étrange amitié avait éclos entre ses guerriers. Cependant, la culture du drow échappait totalement à Gor’Kun, ce dernier ne pu saisir se qui poussait l’homme à se plier a cette harpie de matrone. Lorsqu’ils étaient à l’extérieur de la cité, en guerre ou en simple éclaireur, le drow était amical (dans une certaine mesure) bien qu’il gardait toujours une certaine froideur et distance entre lui l’orque…Ils pouvaient discuter longuement de leur vie et de ce qui les entouraient, leurs opinions divergeant sur tous les sujets. Mais dès qu’ils retournaient a Nul-Darbanne, ne fussent qu’un court instant, il était de nouveau l’esclave de sa société et de son héritage. Jamais, il ne lui adressait la parole et lorsqu’il faisait mention de lui devant la matrone, seuls des insultes lui étais associer. Est-ce pour couvrir tout soupçon ou étais-ce simplement un jeu que Reins’him jouais avec l’orque?
Cela faisait maintenant plus d’une semaine que les troupes avançais dans le désert aride, leur mission était simple : Trouver et détruire tout résistance associer a Terrebelum. Les elfes noirs n’appréciait pas le désert et les quelques orque n’appréciait pas les drows. La tension était à son comble et le moral au plus bas. A la surprise de l’orque, ses homme et lui trouvèrent des traces de vie. Il s’empressa d’en informer son capitaine
-Rei…
-Capitaine! Aboya le seigneur drow
-…capitaine? Répondit l’orque a voit basse, incrédule et choquer. Nous avons trouvé des traces qui se dirige dans les grottes non loin d’ici…Rien de d’exceptionnelle…une vingtaine d’homme, pas de chevaux…Rien ne laisse croire a des troupes ennemies…les trace son irrégulières, aucune formation ou trace d’artillerie. A mon avis…
-Votre avis ne m’intéresse pas, Gor’Kun. Les ordres sont strictes…toute formes de résistance doit être abattu a vu, mal organisé ou pas. Nous frapperons durant la nuit.
L’orque n’insista pas, il connaissait l’homme suffisamment pour savoir que l’irriter n’arriverais a rien de bon. Un mauvais pressentiment hantais son âme...il sentait qu’on lui cachait quelque chose…en cas normal son *capitaine* lui aurait indiqué son plan ou du moins aurais pris note de ses observation, après tout…n’était il pas la en tant qu’expert? Que pouvait-il faire? Confronter son chef? Cela ne résulterait qu’en deux choses, une mort rapide ou une mort longue et fortement douloureuse. Il du contrôler son inépuisable envie de réprimander le drow. La nuit vint a eux, inévitable, les hommes se préparèrent au combat. Étrangement, Gor’Kun et ses quelques hommes furent ordonnés, par un subordonné (rien de moins), de rester en place jusqu’au retour des troupes. Une nouveauté…jamais ils n’avaient été exclus des combats auparavant. Frustré, les hommes obéir.
Plus d’une heure passa sans que personne n’émerge des grottes Perturbé, Gor’Kun envoya quelques uns de ses hommes vérifiés. Ils ne revinrent pas. Inquiet, il s’arma de ses deux haches, et ordonna à ses hommes de partir s’il n’était pas de retour dans un quart d’heure.
Sans plus hésiter, le berserk courra à l’intérieur des murs humide de la caverne, sans se soucier du danger imminent. Il pouvait déjà sentir le sang et la sueur afflué a travers les murs…Soudain, il s’arrêta, frapper par une vision d’horreur, ses hommes déchiqueter gisais au sol sous ses pieds. Lentement, il leva les yeux…, un petit village orque était réduit en poussière, cadavres d’orque et d’elfes noir s’entremêlais dans un tableau de sang, flèches et lames brisée flottais dans une marre d’hémoglobine et l’odeur putride enfermé était insupportable. Au milieu de ce décor glorieux, se tenait fièrement un drow, couvert de sang, le regard fou. Keins’him était le seul survivant de cette enfer, il en était le gourou et son unique vainqueur. Lentement, il se tourna vers lui. Son regard mélangeait colère et tristesse
-Tu devais me désobéir…Pourquoi ne pouvait tu pas m’écouter cette fois?...Ne répond pas...Cela n’a aucune importance…Cependant, toute chose on une conséquence, rends toi…Inutile de nous torturé tout deux…Les ordres sont les ordres…Je devais exécuter la petite tribu d’orque situé ici, malheureusement, les choses se sont compliqué…Ses sauvages nous avais remarqué et avait préparé une embuscade…Puis vinrent tes hommes…Il ne fallu pas longtemps pour qu’ils prennent l’initiative d’aidé leurs *frères* expliqua-il, déçu. La victoire n’a été que plus difficile...
L’orque ne put que répliquer d’un puissant rugissement, une déferlante de colère l’empli. Ses muscles se tendirent, sa vision s’embrouilla. Un torrent d’émotions le consuma, la rage du passé lui revenait, la mort de ses hommes…Le monde devint rouge, son esprit devint rage…Il resta immobile quelques secondes, laissant la haine le consumer, l’adrénaline pompais a travers son corps, sa respiration se fit de plus en plus rapide et bruyante. Tuer…TUER!!!!
Il chargea tel un animal, haches levé, gueule ouverte. Il frappa avec force d’abord de haut en bas puis à l’horizontale, verticale et puis tout devint confus, les coups pleuvaient de tout les sens. Son adversaire ne se laissa pas impressionner, enchainant parade, esquive et roulade. Le drow profita de chaque ouverte pour une affliger une coupure a l’orque. Bien assez tôt, le corps du berserk fut que couvert de son propre sang. La douleur ne servait qu’alimenter sa colère. Il frappa encore et encore, ne reculant jamais devant se adversaire, utilisant sa force pour faiblir sa garde. Le drow n’osa pas porter de coup fatal, à moins de couper la tête de son adversaire, dans un état pareille même le torse transpercé, l’orque l’écraserait en un instant. C’est leur endurance qui déclarerait le vainqueur.
Progressivement, le combat ralentie, Keins’him avait à peine été touché tandis que Gor’Kun semblait sur le point de s’effondrer et surprise…Il tomba le premier. Épuisé, le drow dû s’appuyer sur son épée pour tenir debout. Il respira profondément, cherchant désespérément à récupérer ses esprit, certain que cette furie allais se relever indéfiniment.
-Ce sont toujours les meilleurs qui meurt en premier…il regarda autour de lui instant scrutant les morts. Eux mis a part…il eu un petit rire forcer. Repose en paix, vieil ami…Je n’oublierais pas ta bravoure. Tranquillement, il s’abaissa pour lui fermer les yeux.
Brusquement, l’orque lui agrippa la main gauche. Les yeux grands ouverts prêt à exploser. Il le tira vers lui de force le jetant au sol sans lâcher le membre. Il monta sur lui puis le frappa au visage de son bras libre, encore et encore….Le drow, surpris, ne put qu’encaisser les chocs. Frustré par le manque de résultat, le berserk lui enfonça lentement le pouce dans l’œil droit. Le drow hurla de douleur, un cri inhumain. Mais il refusa de mourir, de toute ses force il poussa la masse gluante appuyer sur lui a l’aide ses pied. Le résultat fut immédiat, l’orque tomba sur le cote toujours agripper a l’avant bras Désespérer, le drow attrapa une hache de sa main libre et tenta un nouvel assaut. Alerte, l’orque bloqua le coup du bras en le positionnant au niveau du manche. L’elfe lâcha prise et se releva difficilement, tanguant de droite à gauche, la main sur son œil ensanglanté. La main lourde et puissante était toujours acérer autour de son bras. Prit de panique, il frappa le frappa de toutes ses force encore et encore…en vain…Gor’Kun se releva de nouveau, couvert de sang, le regard confus. Il ne pensait qu’a une seule et unique chose. Tuer cet homme. Dans un dernier élan de force, il frappa son adversaire de son bras libre, le drow en fit autant. Pendant un long moment, ils s’échangèrent coup pour coup. Finalement…Gor’Kun lâcha prise et s’abattit au sol…suivit de près par le drow.
Ils restèrent immobile un long moment dans un doux silence…le berserk était couvert de coupures tandis que l’elfe noir avait l’œil enfoncé, le nez brisé et la mâchoire disloquer. L’esprit du guerrier les poussaient à vouloir se battre de nouveau, mais leur corps briser ne le supporterais pas…l’orque du se résoudre a posé une simple question.
-Pourhquow?
Incapable de parler, le drow ne put que mollement prendre une lettre cachée à l’intérieur de sa poche et la déposer a proximité. Épuisé, le guerrier pris une éternité à l’approcher. Il se roula sur le coter lui permettant ainsi de voir la lettre en question. Déjà, elle s’imprégnait du sang des vaincu. Graduellement, son esprit réussi a aligné les mots pour en faire des phrases. Il s’agissait des ordres officiels. Ces ordres étaient simples, trouver une tribu de sauvage situer dans une grotte au sud-est et les exterminer. La lettres détaillais les raison de se massacre…ils étaient une honte pour la puissante nation des orques et un vestige du passé honteux. Pourquoi les drows se préoccupais il de cela…Il ne l’était pas…le conseil des orques oui…la lettre étais signer et sceller par le conseil des orques. En cet instant…Il comprit que son village et celui-ci n’avait pas été détruit par la volonté des drows, mais bien par celle du conseil qui l’avait formé. A ses coter gisais son seul ami et frère d’arme qu’il avait lui-même abattu dans une colère aveugle. Il allait mourir dans la honte.
Évidement, se ne fut pas le cas…ces éclaireurs n’écoutèrent pas ses ordres et firent exactement ce qu’il avait fait…Ils retrouvèrent les deux guerriers au gouffre de la mort. Heureusement, ils réussirent à stabiliser leur état grâce aux herbes médicinales dispersées au sein du village. Lorsqu’ils demandèrent des explications aux deux hommes…tout deux répondirent avoir été embusqué par les survivants de la tribu. Jamais les deux combattants ne s’adressèrent la parole de nouveau. Gor’Kun retourna a la Shiliak et donna sa démission, tandis que Keins’him retrouva sa maison bruler en cendres et sa matrone sacrifier. Il passa de longue année a s'interroger sur les raisons qui l'avait poussé a attaquer son partenaire..étais par vengeance? Pour l'honneur de sa famille ou la sienne? Non...Il n'avait pas le droit de revendiquer la vengeance sur un monde cruel. Car n'avait il pas lui même tuer famille et enfants. Il était lui même un destructeur aussi maléfique, voir bien plus, que ses maîtres. Il comprit qu'en réalité ce qui l'avait poussé a attaqué Reins'him était simple: Il était un tueur, un monstre de sang et d'os brisée dont la vie jusqu'à maintenant était controllé par plus brillant que lui. Devant cette fatalité, il n'avait pu répondre que par la seule chose qu'il connaissait vraiment, la violence. La seule chose qui avait changé réellement aujourd'hui était celui qu'il servait. Non plus des seigneurs orques ou drow...mais seulement son besoin de violence (et d'argent). C'est ainsi que l'orque devint mercenaire a la solde du plus offrant
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