La Grande Basilique St-Odimir (la grande place)

HJ : IMPORTANT – Certain propos tenu dans ce texte pourrai choquer certaine personne.

Terrebelum, une terre que Lucian n’avait pas revue depuis près de cent ans. Il prit quelque instant à admirer les énormes murailles qui entourait la ville, les gardes en poste ce promenais le long des murs et surveillait le moindre mouvement suspect. Lucian sortie de sa besace une cape qu’il avait subtilisé à un rôdeur, la mis et entra dans la citer au coter de son cheval. La grille était grande ouverte et les marchands sortaient et entraient comme des fourmis travaillant ardument dans leur fourmilière. L’ancien capitaine ce dissimula dans la foule et fit son chemin dans la rue principal, personne ne lui prêtait une attention particulière. Les miliciens étaient nombreux à sillonner les allées, ce qui inquiéta Lucian, il ne devait pas ce faire prendre, surtout après seulement avoir à peine franchis les murs. Il alla vers une écurie pour y laisser sa monture, ce qui devrait déjà moins attirer l’attention des hommes en armure. Il paya le palefrenier et laissa également sa lance, enrouler dans du tissu, au coter de son cheval. Il sortit de l’écurie et s’arrêta, sortit de son sac une pipe et un peu d’herbe, ramassa une branche au sol et l’alluma avec les torches allumer des remparts. La petite flamme fit bien le travaille désirer en brulant l’herbe dans la pipe. Lucian pris quelque respiration et laissa échapper de ses narines la fumer du tabac. Tout en fumant sa pipe, il ce mis en marche vers le cimetière, les marchands ne cessaient de lui couper la route, espérant lui vendre quelque babiole auquel il n’avait rien à faire. Il les poussa délicatement tout en s’excusant, ce frayant un chemin vers la maison des morts. Il voulait aller visiter la tombe d’Unas, à qui il lui devait sa vie actuelle… Mais pourquoi serait-il heureux après ce qu’il à fait? «Ce que tu pense ne m’importe peu vermine… ». Encore cette voix. Jamais elle ne le laissera tranquille semble t’il.

Il continua sa route tout en terminant de fumer, mais à quelque rue en avant de lui, il aperçu des miliciens. « Maudit soit-il! » murmura t’il. « Passe par un autre chemin. » chuchota la voix. Lucian tourna et pris la venelle pour éviter d’être vue par les soldats. La route le conduit sur la rue principale l’où la milice était plus présente. Il continua tout de même sa route au travers la foule qui ce pavanait dans la rue. Évitant les regards des soldats et ce dirigea vers une autre ruelle. Il emprunta plusieurs routes sûres pour enfin trouver une auberge. Il y pénétra pour esquiver les gardes qui venaient vers lui. La noirceur de l’endroit fit le plus grand bien à ses yeux très peu habitué à la lumière. Gardant son capuchon sur sa tête, il ce dirigea vers un table près d’une fenêtre. Rester à l’écart et loin des problèmes le temps que la milice vagabonde moins à l’extérieur. Une serveuse vain le voir et il commanda qu’un simple pichet d’eau et quelque fruit.

Les minutes semblait ne vouloir passer, le soleil toujours aussi resplendissant ne semblait avoir bougé. Il s’exaspérait d’ennuie, sortie de nouveau sa pipe et ce remis à fumer. Quelque saoulons entrèrent dans l’auberge et s’installèrent à quelque table de Lucian.

« Tout ses miliciens me saoul royalement. Lança l’un d’eux qui ne semblait avoir bus contrairement à ses congénères. Mais pour qui ce prennent-ils? »

« Calme toi, il ne t’en voulait pas ils recherchent seulement quelque bandit à ce que j’ai entendu dire… » Répondit celui qui semblais être le plus grand d’entre eux.

Lucian écouta d’une oreille attentive leur discussion, des bandits avait-il dit? Soit les miliciens d’aujourd’hui ne son plus ce qu’ils étaient il y a quatre-cent ans, ou ses malfrats ne sont pas des bandits de bas étage. D’autre client entra alors, un homme en toge blanche et une femme. L’homme aux longs cheveux blanchâtres menait la marche, il semblait quelque peu agiter. Tout comme la femme qui le suivait, ses traits d’une douceur accrue attira les regards de tous. Leur convoitise ce lisaient facilement dans leurs pupilles qui brillaient d’émerveillements. Ils s’installèrent sur une table non loin des vieux alcooliques. Lucian ce déplaça sur la table à leurs coter et de son angle mort regarda avec questionnement ce couple très peu singulier. Les hommes de l’endroit zyeutait la femme de bref regard de coter. Pour avoir vue nombre de ses êtres par le passer, l’ancien capitaine ce doutait qu’elle soit probablement une elfe, mais certain de ses mouvements le fit douter. Il n’y prêta guère attention lorsque trois miliciens vinrent rejoindre le groupe attablé au comptoir. Ne le laisseraient-ils jamais en paix? Ses imbéciles de soldats achetèrent à boire et à eux seule, firent un boucan qui obligea certain à quitter l’endroit.

« Ah… Pas encore eux… » Lança désespérément le grand homme assis près de Lucian.

La serveuse retourna voir Lucian qui recommanda à boire. Elle repartit vers le comptoir et les miliciens la sifflèrent et lui fit des propositions d’intérêt sexuel. Elle prit rapidement ma commande et tout en les ignorants elle porta à boire à Lucian. Ceux-ci la suivaient du regard, l’un d’eux aperçu alors l’elfe qui terminait son repas. Un sourire illumina son visage décharné par de récente cicatrice. Il invita ses confrères à le suivre vers la table des deux étrangers. Ceux-ci semblaient dès lors inconfortables face à la situation, ils ce mirent à parler et leur discutions, plutôt courte pour appeler cela une discutions, ce termina en bain de sang. L’homme aux cheveux blancs ce fit frapper en plein visage, il ce releva et esquiva habilement une attaque du milicien et enfourcha sa lame dans la chaire de son adversaire. D’un second coup d’épée, il l’acheva. Il ce tourna vers les deux autres, brandissant sa lame vers les soldats. Les étrangers prirent chacun un adversaire qu’ils éliminèrent sans trop de peine, mis à part la jeune femme qui fut blessé aux côtes. L’homme drapé de blanc rejoignit sa comparse, examina la blessure et paya une chambre aux aubergistes. Donnant également un montant supplémentaire au tenancier pour les dégâts. Il partit ensuite vers sa chambre à l’étage, emportant sa conjointe dans ses bras.

« Tss, tout un héro n’est-ce pas? Hahaha! » Cette voix résonnant sans cesse dans sa tête pris désormais possession du corps de l’ex-capitaine. Ses pupilles devinrent pâle et un faible sourire ce dessina sur son visage qui, désormais, était sombre et malsain. Il sortit sans attirer l’attention et partit à la recherche d’un garde, il en trouva un non loin de la rue adjacent à l’auberge. Un petit garçon sortit au même moment d’une ruelle, Lucian lui empoigna le bras, le jeunot fit un saut, le regarda terroriser. « J’ai un travaille pour toi mon garçon, tu vois le garde là-bas? » L’enfant acquiesça. « Bien, je te donnerai cette bourse d’or si tu va lui livrer un petit message… Va lui dire que trois miliciens ce son fait tuer dans cette auberge, que ce son les criminelles qu’ils recherchent qui les ont abattus. D’accord? » L’enfant hocha positivement la tête et couru vers le soldat, Alors que Lucian lui, s’engouffra dans la ruelle. Personne au alentour, il guetta sa missive. Il vit le garde partir en courant et le garçon revint, l’ancien capitaine lui fit signe de le rejoindre dans la venelle. Il l’entraina dans un cul de sac, le jeunot demanda son dû en tremblant. Lucian sourit et s’agenouilla, pris la tête de l’enfant entre ses deux main, d’un geste vif il lui fracassa le crâne sur le mur en pierre. L’enfant totalement assommé saignait abondamment de la tête, ce qui n’empêcha Lucian de recommencer jusqu’à ce que celui-ci sois mort. Il cacha ensuite l’enfant dans les poubelles. « Je ne confirai ne serai-ce une pièce d’or à un enfant qui mourra de faim dans la semaine à venir… Mais, merci pour avoir livrer mon message. » Ses avec un sourire qu’il quitta la ruelle et partit voir si les miliciens arrivaient.

Lorsque ceux-ci arrivèrent, ils ce positionnèrent devant la porte d’entrer et sans même crier gare, ce mirent à lancer des bouteilles d’alcool avec lequel était attacher un bout de tissu qu’ils avaient allumé. Le fracas des fenêtres et des bouteilles s’éclatant à l’intérieur, fut suivit du son des flammes ce rependant dans l’auberge. Tous ceux qui sortirent de l’endroit furent abattu sous prétexte d’être des alliés des criminelles recherché. Avec satisfaction, Lucian revint à lui-même, ses traits sombres et son regard vide s’était dissiper. La bête en lui redonna possession de son corps. « Tu sais quoi faire maintenant Lucian, va les aidés… » Mais pourquoi ce demanda l’ex-capitaine? « J’ai un plan en ce qui concerne ses deux imbécile, la pureté de ton âme devrai pouvoir les dupés… » Lucian acquiesça et partit le plus vite possible vers la porte arrière de l’établissement. Trouva une échelle et l’appuya près de la fenêtre de l’homme en blanc et la femme elfe. Fracassa leur vitre avec une pierre et leur cria de déscendre…

HJ2 : J’ai eu l’approbation de l’administrateur Gadadgnor, de pouvoir utiliser les miliciens.

HJ : Très bon ton rp Lucian !!

Kestrele se changea en quelques minutes. La robe qu'elle portait était beaucoup plus sérrée que l'ancienne. Blanc en bas et beige crème en haut. Le haut était un corset bien séré qui laissait ses formes se montrer sans être vulgaire. Le bas faisait des pans de voilures très fines qui laissait voir sur le côté ses jambes élancées. Elle replaça sa robe dans son sac, elle remarqua qu'on voyait désormais son collier de pierre de Lune. Tant pis. Une voix dans le couloir la fit sortir de ses pensées. Azazh lui demandait si il pouvait rentrer, elle sourit, le pauvre homme s'était fait jeter en beauté dehors, Kestrele s'en fut un peu désolé pour lui qu'elle aprécier de plus en plus. Puis des fracas et des voix se firent entendre en bas, la jeune fille se précipita vers la porte et attira le jeune homme dans la chambre, avant de fermer la porte et de la bloquer avec la chambre. Son intuition lui disait qu'il fallait le faire, se protéger. La pierre à son cou la chauffa légèrement avant de redevenir aussi froide que le vent qu'elle pouvait sortir de son corps.

Une pierre vint briser la fenêtre de leur petite chambre et une voix leur dit de descendre. Kestrele regarda son ami

"Nous n'avons pas le choix... Mais je pense que les miliciens y sont pour quelque choses...."

Elle s'approcha de la fenêtre et regarda en bas, un jeune homme la regardait. Il s'emblait être un guerrier mais quelque chose la choquait dans son regard.

"Un guerrier nous attends en bas, laisse moi descendre en premier."

Kestrele regarda dans les yeux so compagnon et lu un semblant d'inquiétude sans en être vraiment sure.

"Ne t'inquiéte pas, je maîtrise !!"

Elle lui sourit et descendit donc la première sans que Azazh ne puisse prononcer un mot.

Arrivée en bas, elle se retourna directement vers le jeune homme, elle semblait l'avoir déjà aperçut dans l'auberge mais les événements qui s'y étaient produit brouillaient son esprit et ses souvenirs.

Kestrele vit les miliciens arriver et son compagnon dégaigner son arme. Il lui demandait de partir avec cet inconnu alors que Kestrele le trouvait louche.

"Hors de question que je te laisse ici. On partira tous les deux ou on mourra tous les deux."

Rien ni personne ne pourra ne pourra emmener Kestrele loin de celui auquel elle s'est jurer de le protéger quoi qu'il arrive. Elle feignanait l'ignorance avc le nouveau venu mais le regardait du coin de l'oeuil. Elle s'entait que quelques chose clochait dans cette histoire.

Elle vint se planter au côté de son ami, préparant ses sorts de soins et d'attaque au cas ou.

Avant même que quelque chose se passe, sa pierre lui réchaffa le corp et elle senti venir ses pourvoirs sans mm faire quelque chose. Le vent soufle, des flèches sortirent de ses yeux en direction des miliciens qui se rapprochaient en hurlant. Elle se concentra et balaya du regard de flèches les arrivants. Ceux-ci furent touchés mais ne les arréta pas. Cela aurait été trop beau !!!. Elle souri de satisfaction en voyant qu'elle arrivait à se contrôler pour l'instant.

Les miliciens se séparèrent en deux groupes, un arrivaient vers la gauche et l'autre vers la droite. Ils se mirent au pas et regardait les trois personnes. Kestrele se damandait ce qui se passait. Si c'était le guerrier qui les avaient appelés, pourquoi s'en prennaient ils à lui ? Deux miliciens se dirigèrent vers eux, les armes sortis, la haine dans les yeux.

Kestrele se mit le sort de protection sur son compagnon et elle même avant de se retourner et à contre coeur protéger le nouveau. Des miliciens lancèrent des flèches qui attérirent à cinq mètre environs des jeunes, le sort faisait effet. Kestrele se retourna vers Azahz, le regarda inquiette et pensa intérieurement à quel point elle ne faisait pas confiance au nouveau venu.

Les regards interrogateurs de l’elfe et de l’homme laissait croire qu’ils ce méfiaient de lui, avec raison certes, mais il ce devait de les amadoués… Mais pourquoi au juste? Ne pose de question auquel je te donnerai réponse plus tard, répondait cette voix lugubre qui hantait son esprit depuis quatre-cent ans. Qu’importe, s’il ne l’écoute pas, celui-ci l’enfermera au tréfonds de son âme et jamais le laissera en ressortir. Alors que des miliciens s’approchèrent d’eux, la femme lança un sort qui surprit Lucian, des faisceaux sortir de ces yeux pour atteindre les assaillants. Ceux-ci ne bronchèrent point à l’attaque et continuèrent leur course folle. D’autre arrivèrent en renfort bloquant alors leurs retraites, des flèches volèrent dans leur direction mais la magicienne utilisa un sort de protection pour les parés. « Hahaha, on dirait bien que les miliciens sont arrivés tôt! » Ricana la voix, Lucian hocha faiblement la tête d’exaspération, cette être ne semble donc jamais atteint par le sort de qui que ce sois, même le sien… Comment s’en sortir? « Demande à l’elfe d’utiliser sa magie pour éteindre le feu dans l’auberge… Ensuite introduisez vous à l’intérieur, le vent repoussera les flammes et la fumer vers les soldats qui guète l’avant. Utilisez alors ce moment pour vous faufiler vers un endroit plus sur qu’une rue bondée. » D’accord ce dit Lucian, mais qu’advenait-il du fait que la magicienne semblait épuiser? « On n’à pas de réponse sans demande, non? Hahaha! »

Les flèches dévièrent de leur trajectoire pour ce fiché dans le sol à quelque mètre plus loin. Elle semblait épuiser et probablement que bientôt ce sort s’arrêtera. Lucian s’approcha d’elle pour lui faire la demande insensée de l’ombre tapis dans son âme.

« Je comprend que vous vous fatiguez, mais j’eusse espoir que vous puissiez en faire un peu plus… » Il s’arrêta net et toussa, repris son ton serein et ce lança : « Pensez-vous pouvoir utilisez vos pourvoir pour nous faire un chemin au travers l’auberge? Le feu et la fumer couvrirait notre retraite vers l’avant. Pour l’amour d’honoreus je vous en conjure… »

HJ: Merci pour le compliment Kestrele, j'ai eu un peu peur de vos réaction, je suis pas habituer ses mon premier RP

Kestrele fût vexée de comprendre par les regards de ses compagnons qu'elle ne serait pas assez forte ou du moins s'épuiserait vraiment. Elle ne les regarda pas et ne leur répondit pas, ses yeux brillaient d'éxitations et de malice. Elle regardait les miliciens, bien que deux soient au sol, les autres étaient pas bien loin, elle les envoya valser par une main de vent puis fit volte face vers l'auberge. Elle fixa celle-ci et une poussée de vent arriva sur l'auberge disperçant tous les miliciens ce trouvant à plus de deux mètres, ce qui permettaient aux jeune de rentrer dans l'auberge sans précipitation. Elle prit la main de son compagnon, regarda le nouveau et commençat à monter l'échelle. De la, une nuée de fumée sortaient de la fenêtre.

"Je passe devant, ne trainez pas, la fumée reviendra derière nous pour empécher tout individu de nous suivre. En gros si vous prenez du retard, les flammes ne feront qu'une bouchée de vous."

Kestrele voulait que son compagnon soit derrière elle. Elle poussa la fenêtre entrouverte de la chambre et posa un pied sur la braise du sol. Plus les jeunes avançaient, plus la fumée qui les entouraient était noire. Kestrele avait fait un chemin dans l'auberge, mais elle ne savait pas où ils iraient après. Derrière eux, la fumée étaient revenu, cela était assez impressionnant. Ils arrivèrent en bas, un désastre sous leurs yeux... Tout avait brulé si vite.. Kestrele prit la porte et regarda dehors. Les miliciens se trouvaient maintenant derrière eux, dans la ruelle derrière.

"Il faut se dépêcher, ils ne vont pas tarder à comprendre notre ruse."

Kestre n'avait perdue aucune forces, elle même était surprise mais ne disait rien.Les trois jeunes partirent vers la droite, s'enfonçant dans les ruelles de Terrebelum.

Toujours sans confiance, ou ils le regardaient d’un regard froid, ou ils l’ignoraient. Mais ce qu’il le frappa le plus son les dires de l’homme, qu’il n’aurait du employer le mot amour mais honneur. « Qu’importe Lucian, ignore le car de toute façons ses loin d’être le moment… » Dit la voix. Bien… L’humain alla voir l’elfe, et lui demanda si elle pouvait le faire. L’écho d’un ricanement résonna du fond de son esprit, le troublant un instant. L’homme drapé de blanc ne le regarda pas, et lorsqu’il le fit, ses du mépris qu’il vit dans ses yeux. Pendant l’ombre d’un instant un léger sourire illumina le visage de Lucian sous son capuchon, son sourire s’effaça et l’ex-capitaine repris son air impassible. L’elfe le regarda et ce mit à grimper l’échelle, il regarda le comparse de la femme et suivis la femme dans l’auberge. Il traversa la fenêtre et les flammes ardente s’avait élevé jusqu’à l’étage. Le feu s’écarta devant la femme qui avança avec précaution, la faible braise s’élevait laissant échapper un faible crépitement. L’ancien capitaine suivait les pas de l’elfe qui les conduisit jusqu’à l’extérieur. Les miliciens s’avait, semble t’il, disperser en arrière.

« Bien que je sais que votre confiance en moi n’y est pas, je souhaite quand même suggérer une auberge l’ou nous pourrions nous cacher et discuter… Je vous expliquerais tout une fois en sureté. » Dit Lucian en ce retournant vers l’homme et la femme. Il savait bien que gagner leur confiance ne serait partie facile, peut-être le serait-ce si cette ombre lui en dirait plus, mais celui-ci ce taisait, ne voulant répondre aux questions silencieuses que Lucian lui posait. Il fini par ce taire intérieurement et sa tête ne résonna plus de ses rires incongru. Lucian fini par poursuivre : « Il y a une auberge, dans les bas cartiers l’ou nous pourrions nous réfugier quelque temps, du moins le temps qu’il cesse de nous cherchés. Si vous avez des questions, je vous y répondrais avec plaisir une fois là-bas… » Il ne les lâcha pas du regard, attendant une réponse.

La tension entre les deux hommes étaient bien réelle, pourtant le nouveau venu voulait nous connaître un peu plus. Les trois jeunes étaient dans la ruelle voisine de l'auberge en feu. Kestrele ne savait pas bien ce qui ce passait autour d'elle. Le guerrier leur proposa d'aller dans une autre auberge pour discuter tranquillement, alors que Azahz voulait aller dans sa maison qui passerait certainement moins dangereux aux yeux des miliciens. Kestrele réfléchie. Puis Azazh lui dit quelque chose qui la perturba un peu.

"Ma maison n'est pas un palace, ni quoi que ce soit de ce genre. Elle ressemble aux autres, personne ne viendra pour nous chercher là-bas. Je te laisse choisir, mais si tu préfères l'auberge, nous devrons nous quitter..."

Le quitter, le seul "ami" qu'elle avait, la seule personne qui était là pour elle allait s'en aller et la laissé avec cet inconnu. Cela ne la plaisait guère, mais peut être que le jeune humain ne voulait plus d'elle à ss côtés. La vivion de se retrouver seule l'effrayait pas mal et l'attachement qu'elle avait pour lui était bien plus fort qu'elle ne s'imaginait. Les larmes de colère montèrent à ses yeux, elle se detestait d'être aussi sensible. Elle regarda le sol, les réponses se bousculaient dans sa tête, elle devait se dépêcher, elle regarda l'inconnu, puis s'attarda sur Azahz. L'espoir, voila se qu'elle ressentait quand elle était avec lui, l'espoir d'être quelqun, de devenir ce qu'elle veut. Elle regarda dans la direction opposé. Elle pensa

"Peut être que nos chemins doivent se séparer ici, dans cette ruelle..... ou peut être pas. Que vais je faire maintenant ? Ou plutôt sans lui ? La vie est difficile, non en fait ce sont les choix qui sont difficiles..."

Elle reprit son attention sur Azahz et lui répondit.

" Je suis partante pour chez toi, si tu veux bien encore un peu de moi. En fait, c'est toi qui choisit, soit tu me laisse soit tu m'emmene."

Elle se retourna vers l'inconnu.

"Tu es un guerrier à ce que je vois. Je ne comprends pas tout ce qui c'est passé..... Enfin, ce n'est pas trop l'endroit pour se présenter... Mais je ne vois aucun inconvénient pour que tu nous accompagne si Azazh le veut...."

Kestrele pria intérieurement ne pas avoir prit de mauvaise décision.

L’elfe semblait quelque peu démoraliser, son compagnon qui la menaçait de la quitter parue l’avoir atteint. Elle ne semblait ne vouloir le laisser pour rien au monde, et celui-ci avait déjà tourné les talons, ce dirigeant vers son domicile. Lucian restait sceptique, normalement cela aurai été vrai (dans certaine circonstance) qu’une maison serai plus sécuritaire qu’une auberge. Mais, les hommes en toge d’un blanc aussi claire que le sien, ainsi que sa chevelure ayant ce même éclat blanchâtre, ne pouvait passé inaperçus. Et des hommes accoutré de cette manière, ayant cette allure soigner, était dans de nombreux cas des paladins. L’ancien capitaine supposa dès lors qu’il devait en être un, ce qui expliquerait son désarroi lorsque Lucian avait mentionné le nom de son dieu. Tentative futile mais qui aurai pu s’avéré efficace si celui-ci aurai cru voir en lui un confrère. Les pas précipiter des miliciens ce firent entendre derrière eux, laissant alors à Lucian qu’un temps très court pour les emmenés avec lui et éviter qu’il ce prenne eux même au piège dans un endroit qu’ils croient sûr. La femme elfe qui semblait débattre depuis un moment le pour et le contre fini par lancer à son comparse: " Je suis partante pour chez toi, si tu veux bien encore un peu de moi. En fait, c'est toi qui choisit, soit tu me laisse soit tu m'emmene.". Ce retourna et fit face à l’ex-capitaine et lui adressa également la parole : "Tu es un guerrier à ce que je vois. Je ne comprends pas tout ce qui c'est passé..... Enfin, ce n'est pas trop l'endroit pour se présenter... Mais je ne vois aucun inconvénient pour que tu nous accompagne si Azazh le veut...." .

Lucian la regarda quelque seconde, ce bref moment qu’il prit pour penser avait été interrompu par sa conscience : « Tss, ce serai ce jeter dans la gueule du loup… ». Cela était fort vrai, mais les chances qu’ils y soient vraiment en sécurité était minime, mais trop présente dans l’esprit de Lucian pour pouvoir ce permettre ce genre d’erreur, et de ce faire jeter en prison. Il soupira et d’une voix claire et sans émotion :
« Ces avec un immense regret que vous me voyez décliner votre offre ». Répondit-il calmement et d’un ton posé. «Car voyez-vous, la demeure de cette homme n’est pas un abri qui garantie une réel sureté. Si je ne m’abuse vous êtes un paladin, et les domiciles de ceux-ci peuvent être facilement retrouvé lorsque l’ont sais où chercher. Et votre apparence tout autant que votre tenu, à vous paladin et vous demoiselle, ne peu être passé inaperçu. Si vous dites avoir une maison à Terrebelum, cela veux dire que vous n’êtes pas inconnue de la région. Vous devez fréquenter une église régulièrement et donc vous devez avoir des proches, des amis ou des connaissances qui pourrai, pour une pogner d’or et ou sous la torture, révéler l’endroit de votre domicile. L’auberge auquel je fais allusion est situé près d’un cimetière, ce terrain étant vaste, facilite toute fuite et les tombes peuvent nous dissimulés aisément. Tout en considérant également que j’ai une monture que j’ai laissée à des palefreniers, nous donnant alors l’avantage d’être à cheval alors qu’eux seront condamnés à marcher. Ce son peut-être que des suppositions sur votre entourage paladin, mais à la simple pensé d’être capturer si facilement ne m’enchante guère. Sur-ce, je pars de mon côté et vous laisses le choix à vous de me suivre ou non. »

Lucian ce retourna et partie, tout en ajustant son capuchon, vers les écuries l’où sa monture et quelque effet l’attendent. « Que fait-ont s’ils ne me suivent pas? Votre plan, aussi inconnu m’est-il, tombe à l’eau. » Celui-ci pris un temps avant de répondre : « Nous n’aurons qu’à n’en trouver d’autre, mais avant tout nous nous devons de nous rendre au cimetière, j’ai un présent pour un défunt. » Lucian savait de quoi s’agissait ce cadeau et donc acquiesça. Mais la question du (Plan) le troublait toujours. « S’ils vous suivent, je vous révèlerais ce que vous aurez besoin de savoir, dans le cas contraire, y répondre ne servirait à rien… »

Sur cette réponse l’ex-capitaine continua sa route, s’attendant à un refus de leur part de le suivre.

Kestrele ne faisait pas attention à 'endroit ou le jeune l'emmenait. Ils se retrouvèrent devant la maison de son compagnon, effectivement, cela était simple, dans un quartier défavorisé, personne ne viendrait les dérangers. Azahz fit entrer la jeune fille en premier, puis il barricada grossièrement la porte en ne mettant qu'une simple chaise. Il ne devait pas être très inquiet et cela ce comprenait vu l'état de la maison. Elle n'avait que trois pièces, la pièce principale ou se trouvaient les jeunes, qui devait être le salon, une petite cuisine et une chambre à coucher. La luminosité était faible et une odeur de renfermé planait dans la pièce. Kestrele s'assit sur une autre chaise placé à côté d'une petite table ronde. Elle souffla d'aise et se laissa emporter dans ses pensées de méditation profonde. Cela lui arrivait fréquemment, en fait non, cela lui arrivait quand elle réussissait le but qu'elle s'était fixée.

"Hum... Pas mal du tout, maintenant que j'ai compris comment utiliser mes pouvoirs sans me fatiguer, cela devrait être plus facile. Mais il me faut un dernier combat avant de partir..."

Kestrele fût dérangée par la voix du jeune homme qui de toute évidence parraissaît inquiet de l'état de la jeune fille. Celle-ci était toute transpirante, en revanche, sa respiration était très calme, on aurait pu croire qu'elle ne respirait plus. Kestrele ouvrit les yeux et le regarda un instant, seul lui pouvait l'aider une dernière fois.

"Ho, ce n'est rien, parfois je pars dans des lieux de mon esprit bien caché, et je médite, pardonne moi si tu as eu peur.. je crois que je vais aller me reposer un instant"

Le jeune homme accompagna Kestrele dans la chambre puis se retira.
Kestrele était désormais seule, et dans cette maison, elle ne risquait rien. Son niveau de méditation très élevée lui permettait de faire quelques petits tours plutôt amusant à son goût. Elle ne l'avait fait qu'une fois. Elle partie dans ses pensées en repensant au jour ou elle avait fait la rencontre d'Azahz. Elle se fit arriver un peu plus tôt, sur la grande place, elle se vit sur la grande place, juste à côté d'un elfe en mauvaise posture puisque des lances le transperçaient d'un peu partout. Elle plongea son regard dans le sien avant qu'une brise légère sorte de ses yeux. Kestrele revint à elle, la brise s'en alla par la fenêtre de la chambre.

"Vas-tu trouver la personne en question ma brise ? Pourquoi lui ?"

kestrele était désormais remplit de question, ce visage qu'elle avait vu, alors qu'elle n'avait pas participé au combat, elle ne l'avait jamaias vue en vrai. Elle se souvenait parfaitement du visage qu'elle venait de voir, elle savait où son combat d'entrainement allait se passer désormais, avec où sans aide, elle devait partir.

kestrele reparut dans le salon, elle regarda le jeune homme assit sur la chaise.

"Bien, j'ai bien réfléchie dans la chambre, et je t'avais dit que je t'accompagnerais si tu voulais sauver ton ami. Pour ma par, le temps presse, maintenant que je contôle mes pouvoirs, se sera plus facile d'aider ceux qui en ont besoin. Quels sont tes plans pour maintenant ?"

Kestrele réfléchie un instant avant de rajouter en rougissant de son manque de politesse

"Merci de m'avoir accueillit encore une fois, mais ne t'inquiéte pas, je tiendrais mon engagement de t'aider si tu le veux, mais après ceci, nos chemins se sépareront peut être tout dépendra de ce qui va se passer..."

Kestrele laissa sa phrase en suspent, elle ne devait pas encore penser à après... Elle pensait à autre chose, à ce qui venait de se produire dans la chambre l'avait bouleversée...

La douce brise de la jeune fille continua son chemin jusqu'à destination, mais quel était le message qu'elle voulait faire parvenir ?

L’être traversait la place, son capuchon tombant sur son visage, le dos courbé il s’appuyait sur un bâton à l’instar d’un vieillard, boitant légèrement. Qui pouvait bien faire attention à cet homme insignifiant ? C’était un des « déguisements » qu’endossait Dyn', surtout en plein jour sous le soleil. Il s’arrêta un instant levant les yeux vers la fontaine.

* C’est d’un goût éhonté, je verrais bien cette fontaine remplit d’un sang rouge pourpre… Du sang d’elfe, cela va de soit et à la place de cette sculpture ridicule, une statue de ma bien aimée *

Repenchant la tête en direction du parvis il sourit de l’image amusante qu’il venait de créer dans son esprit. Il reprit sa marche, serrant son manteau de sa main libre, empêchant une partie du vent de pénétrer sous ses vêtements. Son sourire s’estompa alors qu’il arrivait à hauteur du pied de la basilique.

* Je sais que tu me vois, je le sais, je te sens… Un jour crois-moi Honoreus, ma puissance sera-t-elle que je pourrais échapper à ton omniscience même dans les lieux que tu possède. *

Dudyn s’arrêta dans l’ombre du bâtiment, au fil des siècles il avait apprit à contrôler ses sensations. Chaque être mortel qui passait prêt de lui dégageait un parfum, une odeur propre à chaque individu accompagné d’un arôme propre à ses émotions. Le salée pour la fatigue, le fruité pour l’amour et le désire, l’amer pour la peur… C’était comme une double vision, accompagnée par les battements de leurs cœurs, en se concentrant précisément sur un seul d’entre eux il pouvait percevoir le sang qui court dans leurs veines au rythme des pulsations.

Son esprit vagabondait parmi tous ces corps en actions, tout juste des sacs de chaires et d’os portant en eux la matière première, le graal des vampires, la pierre angulaire de son pouvoir. Une voix discrète s’éleva à coté de lui.

« Est-ce vous, le vénérable Elandrile ?

Il se tourna lentement vers la jeune elfe, se contentant pour toutes réponses d’agiter sa tête lentement, sans découvrir son visage.

_ Je suis Mélodiane d’Antrask, avez-vous votre part du marcher ?

Durdyn sourit, il plongea sa main dans une des poches extérieures de sa robe de mage, en sortant une petit bourse qu’il secoua pour la faire teinter. La jeune elfe voulu sans saisir mais il la leva un peu plus haut, la laissant agripper de l’air. N’appréciant guère la plaisanterie du vampire elle jeta un coup d’œil autour d’elle. Elle empestait l’amer, les pulsations de son cœur étaient rapprochées, elle sortie à son tour un vieux document roulé qu’elle tendit à dyn’, puis enleva du tour de son clef une clef. Il s’en saisit rapidement, lui tournant dos, gliçant la clef dans sa poche il déroula discrètement le vieux parchemin, ses yeux le parcoururent rapidement, il semblait authentique.

_ Vous pensez… Je fais ça par nécessité, les temps son dures, je ne sais pas se que vous comptez en faire mais pour autant d’or je… »

Durdyn jeta la bourse au sol, quelques pièces s’en échappèrent et roulèrent sur le parvis, la jeune elfe se jeta dessus, comme un chien se jettent sur un bout de viande.

_ Tu ne m’a jamais vue… * Misérable vermine, prêt à troquer le repos de tes ancêtres pour seulement quelques pièces d’or, encore un bel exemple des valeurs défendus par les éphémères *

La femme ne l’écoutait déjà plus, s’empressant de compter et ranger les quelques pièces d’or contenues dans la bourse. Dyn’ était déjà loin, aillant reprit sa marche, il procédait toujours ainsi quand les êtres avec qui il entrait en contacte n’étaient pas de futurs victimes. Quand bien même les vampires purs comme lui étaient tolérés, moins de monde connaissait son existence, plus son éternité était assurée et préservée. Le jour ou il serait parvenu à ramener sa bien aimée, peut-être qu’alors il sortirait de l’ombre.

< se dirige vers les décombres >